Ginn et Fraen déi an engem Aarbechtskontrakt sinn, an awer kee Congé de maternité oder congé parental ze gutt hunn ?

Monsieur le Président,
Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Monsieur le Ministre de la Sécurité sociale et à Madame le Ministre de la Famille concernant le congé parental.
Il existe des situations où des femmes tombées enceintes et qui, bien qu’engagées dans une relation de travail, ne suffisent pas aux minima d’affiliation exigés par la législation sur la sécurité sociale. Ces femmes se voient alors refusées le bénéfice du congé de maternité. Il semble que ces mêmes personnes ne pourront pas non plus bénéficier du congé parental. Alors que l’allocation d’éducation fut abrogée par le gouvernement actuel, même cette aide ne pourra plus leur être attribuée.
C’est dans ce contexte que j’aimerais poser les questions suivantes à Madame et Monsieur les Ministres :
– Les Ministres ont-ils connaissance de cas où une femme enceinte, bien qu’engagée dans une relation de travail, se voit refuser le congé de maternité, de même que le congé parental ? Quelles peuvent être les raisons d’un tel refus ?
– La période d’inscription auprès de l’ADEM compte-t-elle comme période d’affiliation aux fins de l’octroi du congé de maternité / congé parental ?
– Les Ministres ne considèrent-ils pas qu’il faille, dans des situations exceptionnelles, passer outre à une interprétation littérale des dispositions légales ? La résolution de ces situations exceptionnelles nécessite-t-elle, le cas échéant, une adaptation du Code de la Sécurité sociale, voire d’autres dispositions légales ?
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma parfaite considération.
Marc Spautz
Député

Völlig losgelöst von der Basis

Jeremy Rifkin, der Starökonom aus den Vereinigten Staaten wird eine Analysearbeit erstellen, die Luxemburg wirtschaftlich revolutionieren soll. So stellt es jedenfalls der sozialistische Vizepremier Etienne Schneider dar, der den bekannten Mann aus den USA ins luxemburgische Boot holte.

Nun ist nichts gegen Studien einzuwenden, sogar dann nicht, wenn sie, wie im Fall Rifkin eine halbe Million Euro kosten. Aber Regierungen sind nicht zum Studieren da. Sie müssen handeln und brauchen einen Gesamtplan, ein Konzept. Und das ist der Punkt: Ein zusammenhängendes politisches Konzept ist auch zwei Jahre nach Amtsantritt nicht zu erkennen. Unzähligen Studien, Analysen und Ankündigungen stehen an konkreten Taten recht wenig gegenüber.

Nun wird also auch das ganze Wirtschaftsmodell strategisch auf den Prüfstein genommen. Interessant ist der Zeitpunkt. Gerade jetzt, wo Teile der Arbeiterpartei das Abgleiten in liberale, wirtschaftshörige Gefilde befürchten, startet Minister Schneider eine strategische Offensive im Bereich der Ökonomie. Das ist wohl auch eine Botschaft in die eigenen Reihen hinein. Bei der Vorstellung Rifkins sprach der Wirtschaftsminister viel über Kommunikation, Mobilität, Umwelt und Technologie. Von sozialem Ausgleich, Arbeitnehmerrechten oder Mitsprache war kaum etwas zu hören. Das gilt auch für klare Aussagen beispielsweise über die Förderung des Mittelstandes als Rückgrat der nationalen Wirtschaft.

Wie visionär Experte Rifkin auf Luxemburg bezogen sein wird, das steht noch in den Sternen. Kein Zweifel besteht allerdings daran, dass der Wirtschaftsminister und erster Sozialist in der Regierung stramm auf wirtschaftsliberalen Kurs ist und sich damit immer weiter von seiner linken Basis entfernt. Letztere rüstet auf und hat für die anstehende Steuerreform bereits eigene Vorschläge angekündigt. Da bahnt sich was an.

Marc Spautz
Parteipräsident