Pressematdeelung vun der CSV-Fraktioun

Mehrwehrsteuer : Transparenz in Scheibchen

Seit Amtsbeginn und eigentlich schon während den Koalitionsverhandlungen hat sich die neue Regierung die Transparenz auf die Fahne geschrieben.

Ist dem auch so?

Vor zwei Wochen hieß es noch, dass die Konsolidierung des Haushaltes zuerst über den Weg einer Reduzierung der Ausgaben erfolgen würde, eine Anhebung der Steuern würde nur in letzter Instanz vorgenommen werden. Deshalb sollten zunächst ein Kassensturz und diverse Analysen zu den Staatsfinanzen stattfinden, damit die Maßnahmen kohärent und abgestimmt seien.

Nun stellen wir aber mit Erstaunen fest, dass die neue Regierung laut darüber nachdenkt die Mehrwehrsteuer schon nächstes Jahr zu erhöhen.

Dies ist umso erstaunlicher, da sich, außer der CSV, keiner während des Wahlkampfs formell für eine Anhebung ausgesprochen hatte. Für die DP war es unklar, ob eine Erhöhung der Mehrwertsteuer überhaupt notwendig sei und sie stellte sich die Frage welche wirtschaftlichen und sozialen Gegeneffekte eine Anhebung hätte. Die LSAP hat weder eine Erhöhung befürwortet noch abgelehnt. Für sie ist eine solche Maßnahme lediglich kein Tabuthema. Déi Gréng haben eine Anhebung als sozial ungerecht scharf kritisiert, da diese die Belastung der niedrigen und mittleren Einkommensschichten noch schneller anwachsen lassen würde.

Und heute?

Heute gibt es schon eine vorweihnachtliche Bescherung. Blau-Rot-Grün sind gewillt eine TVA-Erhöhung gegebenenfalls schon nächstes Jahr durchzuführen, obschon ein Einbruch bei den Mehrwehrsteuer-Einnahmen beim elektronischen Handel auf Grund der europäischen Steuerharmonisierung erst ab 2015 bevorsteht.

Ist die neue Regierung mit Screening, Kassensturz und „zero-base-budgeting“ etwa schon fertig? Waren die Resultate vor knapp 10 Tagen noch nicht verfügbar, als der neue Premierminister Xavier Bettel seine erste Regierungserklärung abgab?

„D’Léit solle wëssen, wou mir dru sinn.“, sagte der Premierminister am 10. Dezember im Plenum. Richtig, die Leute wollen wissen wo die Reise hingeht!

L’emploi dans l’industrie

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une série de questions à Monsieur le Ministre de l’Economie et à Monsieur le Ministre de l’Intérieur concernant l’emploi dans l’industrie.

La désindustrialisation et la délocalisation qui touche l’économie luxembourgeoise a des incidences directes sur le marché de l’emploi. Selon les derniers chiffres du STATEC qui vient de publier les données trimestrielles de l’emploi salarié, l’emploi dans l’industrie est en net recul.

Afin d’inverser cette tendance, j’aimerais poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre de l’Economie et à Monsieur le Ministre de l’Intérieur.

  • Comment Messieurs les Ministres entendent-ils promouvoir l’emploi dans le secteur industriel ?
  • Messieurs les Ministres envisagent-ils d’élaborer un plan national respectivement régional pour promouvoir l’industrie au Luxembourg ?
  • Le gouvernement envisage-t-il de faciliter l’accès et l’implantation d’entreprises dans les zones d’activités économiques à caractère industriel ?
  • Quels sont les moyens dont disposent le gouvernement pour soutenir la création d’emploi dans le secteur industriel ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

Marc Spautz

Député

L’emploi dans l’industrie

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une série de questions à Monsieur le Ministre de l’Economie et à Monsieur le Ministre de l’Intérieur concernant l’emploi dans l’industrie.

La désindustrialisation et la délocalisation qui touche l’économie luxembourgeoise a des incidences directes sur le marché de l’emploi. Selon les derniers chiffres du STATEC qui vient de publier les données trimestrielles de l’emploi salarié, l’emploi dans l’industrie est en net recul.

Afin d’inverser cette tendance, j’aimerais poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre de l’Economie et à Monsieur le Ministre de l’Intérieur.

  • Comment Messieurs les Ministres entendent-ils promouvoir l’emploi dans le secteur industriel ?
  • Messieurs les Ministres envisagent-ils d’élaborer un plan national respectivement régional pour promouvoir l’industrie au Luxembourg ?
  • Le gouvernement envisage-t-il de faciliter l’accès et l’implantation d’entreprises dans les zones d’activités économiques à caractère industriel ?
  • Quels sont les moyens dont disposent le gouvernement pour soutenir la création d’emploi dans le secteur industriel ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

Marc Spautz

Député

Changement de paradigme dans le domaine des prestations familiales

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une série de questions à Monsieur le Ministre d’Etat.

Dans une interview récente, Monsieur le Premier Ministre a annoncé que la politique du nouveau gouvernement dans le domaine des prestations familiales changerait de paradigme et se fonderait dorénavant sur des études constatant que les frais des familles n’augmentent pas en fonction du nombre des enfants. Or, la politique des dernières décennies s’est toujours appuyée sur des études affirmant le contraire. C’est pourquoi d’ailleurs nous avons connu jusqu’à ce jour un barème progressif qui augmente en fonction du nombre d’enfants.

Au vu de ce qui précède, je désire poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre d’Etat :

  • Sur quelles études le gouvernement se base-t-il ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

Marc Spautz

Député

Changement de paradigme dans le domaine des prestations familiales

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une série de questions à Monsieur le Ministre d’Etat.

Dans une interview récente, Monsieur le Premier Ministre a annoncé que la politique du nouveau gouvernement dans le domaine des prestations familiales changerait de paradigme et se fonderait dorénavant sur des études constatant que les frais des familles n’augmentent pas en fonction du nombre des enfants. Or, la politique des dernières décennies s’est toujours appuyée sur des études affirmant le contraire. C’est pourquoi d’ailleurs nous avons connu jusqu’à ce jour un barème progressif qui augmente en fonction du nombre d’enfants.

Au vu de ce qui précède, je désire poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre d’Etat :

  • Sur quelles études le gouvernement se base-t-il ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

Marc Spautz

Député

Ja zum Recht auf die eigene Meinung – Nein zu Diffamierung

Facebook, Twitter, Internetforen …, die überragende Mehrheit der Bürgerinnen und Bürger hat die Möglichkeit, in den elektronischen Medien ihre Meinung zum Ausdruck zu bringen. Sei’s zu einem gesellschaftlichen, sozialen, kulturellen oder politischem Thema. Immer mehr nützen diese Ausdrucksfreiheit auch tatsächlich.

Und das ist auch gut so. Das belebt und befeuert die öffentliche Debatte, die nicht mehr die exklusive Domäne einer (selbsternannten) Elite ist, welche allzu oft und allzu gerne ihre veröffentlichte Meinung zur öffentlichen Meinung umdichtet.

Jeder hat das Recht auf die eigene Meinung und in einer demokratischen Gesellschaft ist es wichtig, dass sich jeder frei einbringen kann und zu einem öffentlichen Thema Stellung bezieht. Dass dabei nicht jeder derselben Meinung ist, ist das Normalste der Welt.

Was aber nicht normal ist und das völlige Gegenteil von einer positiven Diskussionskultur darstellt, ist die Tatsache, dass in einer Reihe von Internetforen und sozialen Netzwerken unter dem Deckmantel der Anonymität regelrechte Hasstiraden gegen einzelne Personen und Vereinigungen vom Stapel gelassen werden. Die Anonymität wird mehr und mehr als Einladung genutzt zu Diffamierung, Herabwürdigung und Verbreitung von Lügen.

Die Innovation in den Kommunikationstechnologien bietet ein immenses Potential, um eine neue Qualität in die öffentliche Diskussion zu bringen und diese auf ein breiteres Fundament zu setzen.

Doch diese Chance wird aufs Spiel gesetzt, weil einige Wenige nicht den Mut haben, offen zu ihrer Meinung zu stehen oder das Internet als Ventil nutzen, um ihren Frust abzulassen.

Es hat nichts mit Meinungs- oder Pressefreiheit zu tun, sich hinter einem Phantasienamen zu verstecken, um jeden niederzumachen, der nicht die eigene Meinung teilt. Die Anonymität von Internetforen hat ihre Schattenseiten und es muss daher erlaubt sein, eine Reihe von Fragen zu stellen.