Séjour au pair en Australie

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que, conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Monsieur le Ministre de l’Education nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse et à Monsieur le Ministre des Affaires étrangères au sujet du séjour au pair en Australie.

Partir en Australie pour devenir un au pair tout en étudiant l’anglais et en visitant le pays, est souvent une expérience unique pour les jeunes.

En Australie, les au pairs sont considérés et traités comme des salariés ordinaires et nécessitent ainsi un permis de travail approprié appelé « Working Holiday Visa ». Seuls les citoyens de certains pays, avec lesquels l’Australie a signé un accord spécifique, peuvent appliquer pour le « Working Holiday Visa ». La Belgique par exemple a signé avec l’Australie en 2002 le «  Agreement on a Working Holiday Visa ». Par cet accord, de jeunes belges âgés entre 18 et 30 ans peuvent désormais effectuer un séjour au pair en Australie.

Dans ce contexte, j’aimerais poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre de l’Education nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse et à Monsieur le Ministre des Affaires étrangères.

  • Est-ce que le Luxembourg et l’Australie ont entamé des négociations en vue de signer un accord dit « Agreement on a Working Holiday Visa» ?
  • Dans l’affirmative, Messieurs les Ministres peuvent-ils donner des précisions sur l’état actuel des négociations ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

Marc Spautz

Député

Auf die Finger geklopft

Die Dreiergesprächsrunde von Regierung und Sozialpartnern von vergangenem Dienstag ist zu begrüßen, weil es wich­tig ist, dass die Sozialpartner miteinander und nicht anein­ander vorbei reden.

Die Sozialpartnerschaft ist und bleibt ein zentrales Ele­ment für unser Wirtschafts-und Sozialmodell. Eine funkti­onierende Sozialpartnerschaft und ein zielorientierter Sozi­aldialog sind entscheidend sowohl für Arbeitgeber, die in einem stabilen Umfeld planen können, als auch für Arbeit­nehmer, die auf einen ver­lässlichen sozialen Rahmen und faire Arbeitsbedingungen zählen können. Blau-Rot-Grün hat das end­lich eingesehen!

Fazit: Die Regierung hat­te die Rechnung ohne den Wirt gemacht. Arbeitgeber und Arbeitnehmer haben mit Erfolg darauf gepocht, dass sie sich nicht so ohne Weiteres ins Abseits drän­gen lassen. Zu Recht: Er­fahrung und Expertise der Sozialpartner in sozialen und wirtschaftlichen Fragen sind schlicht und einfach unverzichtbar. Weshalb ist die Regierung nicht von vor­neherein zu dieser Einsicht gelangt? Weshalb kam es zu getrennten Abkommen? Ge­trennte Abkommen, die jetzt übereinander gelegt werden und wo mühsam versucht wird – und mit ungewissem Ausgang – sie in Überein­stimmung zu bringen.

Sozialdialog, das sind drei Partner an einem Tisch. Die­ses Modell ist nicht einfach und auch nicht immer von Erfolg gekrönt. Doch es ist die Anstrengung wert.

Blau-Rot-Grün haben ver­sucht an dieser Anstren­gung vorbeizukommen. Doch sie sind mit ihrem Versuch kläglich geschei­tert, weil selbstbewusste Sozialpartner ihnen recht­zeitig auf die Finger ge­klopft haben. Rückblickend drängt sich der Verdacht auf, dass Liberale, Sozialis­ten und Grüne zumindest in Teilen ein sehr grundsätzli­ches Problem mit dem Kon­sensmodell der luxembur­gischen Sozialpartnerschaft haben. Wollen sie dieses Konsensmodell abbauen? Wobei doch gerade das Ge­genteil der Fall sein muss.

Wir stehen als nationale Schicksalsgemeinschaft vor gewaltigen neuen Heraus­forderungen, die wir nur gemeinsam und somit ge­rade im Konsens lösen kön­nen. Konfrontationskultur ist ein völliger Irrweg.

Marc Spautz
Parteipräsident und Abgeordneter

Weider Bäiträg iwwert d’politesch Aktualitéit am CSV-Profil:

La représentation du personnel dans les entreprises

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Monsieur le Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Economie sociale et solidaire concernant la représentation du personnel dans les entreprises.

Avec l’entrée en vigueur du projet de loi relatif au dialogue social dans les entreprises, les comités mixtes vont disparaître. Il n’en reste pas moins que lors des élections sociales de 2013, de tels comités ont été constitués dans les entreprises industrielles, artisanales et commerciales du secteur privé de plus de cent cinquante salariés.

C’est dans ce contexte que j’aimerais poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre :

  • Le Ministre peut-il me renseigner sur le nombre de comités mixtes actuellement en place au Luxembourg ?
  • Combien de délégations de personnel ont été constituées à l’issue des élections sociales de 2013 ? Le Ministre peut-il lister ces chiffres en fonction du nombre de salariés occupés par les entreprises respectives (15-25, 26-50, 51-75, 76-100, 101-200, 201-300, 301-400, 401-500, 501-600, 601-700, 701-800, 801-900, 901-1000, 1001-1100, 1101-1500, 1501-1900, 1901-2300, 2301-2700, 2701-3100, 3101-3500, 3501-3900, 3901-4300, 4301-4700, 4701-5100, 5101-5500, 5501 et plus de salariés) ? De même est-il possible d’obtenir les mêmes informations par secteur (public/privé voire industriel, artisanal et commercial) ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma parfaite considération.

Marc Spautz

Député

Centre d’émissions radio de Marnach

Monsieur le Président,

Conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, nous souhaiterions poser une question parlementaire à Monsieur le Ministre des Communications et des Médias au sujet du centre d’émissions radio de Marnach.

Depuis des années les riverains du centre d’émissions radio de Marnach se mobilisent contre les nuisances provoquées par le rayonnement autour du site. Il nous revient dans ce contexte qu’un émetteur d’ondes électromagnétique a été récemment mis à l’arrêt et démonté.

Au vu de ce qui précède nous aimerions poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre des Communications et des Médias :

  • Le gouvernement a-t-il trouvé un accord avec la BCE (Broadcasting Center Europe) sur la mise à l’arrêt du centre d’émissions radio de Marnach ?
  • Dans l’affirmative Monsieur le Ministre peut-il nous fournir des précisions sur un tel accord ?
  • Est-il prévu que les émetteurs qui sont encore opérationnels vont être mis à l’arrêt d’ici la fin de l’année ?

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma parfaite considération.

Marco Schank                                                        

Eicher Emile

Députés