Die Wahlen vom 14. Oktober haben nicht das Resultat gebracht, das wir uns alle erhofft hatten. Die CSV wird umfassend analysieren müssen, was zu dem enttäuschenden Ergebnis geführt hat.
Doch wir werden in erster Linie den Blick nach vorne richten. Die CSV wird solide Oppositionsarbeit leisten und die wichtigen politischen Fragen der Zeit zur Diskussion stellen:
Die Digitalisierung der Arbeitswelt. Sie bietet große Chancen, auch bei der Arbeitszeitgestaltung. Die CSV wird darauf achten, dass die Chancen gleichermaßen allen Arbeitnehmern zugutekommen.
Klimawandel. Die extreme Trockenheit des Sommers war ein deutliches Warnzeichen. Der Umbau auf klimaneutrale Energieträger muss verstärkt werden. Die CSV wird sich dafür einsetzen, dass der Umbau sozialverträglich erfolgt. Die Bewegung der „Gilets jaunes“ ist ein warnendes Beispiel.
Mobilität, Logement, Steuerung des Wachstums … Bei diesen Fragen ist kein gemeinsames Projekt und folglich kein kohärentes Konzept von Rot, Blau und Grün erkennbar. Widersprüche werden mehr schlecht als recht mit dem Scheckheft zugekleistert. Das geht solange gut, bis der Scheck feucht wird und abblättert. Die CSV wird ihre Konzepte dagegenstellen.
Am 26. Mai 2019 sind Europawahlen. Die CSV geht mit klaren Vorstellungen in diese Wahlen. Wir wollen das soziale Europa ausbauen und an die Vorarbeit der Kommission Juncker anknüpfen. Wir wollen, dass die Union demokratischer wird.
Die CSV wird für ein Europa antreten, das seine humanistischen Werte nicht zur Disposition stellt. Die CSV will keine Festung Europa. Das haben wir in der Vergangenheit deutlich gemacht und das werden wir auch in Zukunft tun.
«Je suis certain que des jeunes vont entrer au gouvernement»
Le président du Parti chrétien-social compte batailler jusqu’à la dernière seconde pour placer le CSV en position de gouverner le pays. Marc Spautz a la hantise d’une coalition Gambia II.
Marc Spautz pourrait se reposer sur les sondages comme sur des lauriers, mais il n’est pas tranquille. Ni les phrases fortes d’Alex Bodry ni les querelles qui s’étalent au grand jour entre les partenaires de la coalition ne sont suffisantes pour le rassurer. Il sait pourtant que le CSV de 2018 n’est plus celui de 2013.
La déclaration d’Alex Bodry la semaine dernière dans une interview accordée à reporter.lu selon laquelle il n’existerait plus de projet de l’actuelle coalition tricolore vous a-t-elle agréablement surpris?
Marc Spautz : Quand Claude Wiseler a déclaré il y a six mois que ce gouvernement n’avait plus de plan, tout le monde dans la majorité a poussé des cris en affirmant le contraire. Aujourd’hui, Alex Bodry vient confirmer qu’il n’y a plus aucun plan de la part de ce gouvernement. C’est un homme politique expérimenté et je ne peux pas croire qu’il ait dit ça sans arrière-pensée.
Qu’avez-vous lu comme arrière-pensée?
Il a voulu rassurer la base en ce qui concerne son attachement aux valeurs des socialistes et désigner les verts comme partenaires contre le libéralisme des autres. Mais ce dont je suis sûr, c’est que cette majorité va rester soudée si elle arrive à avoir 32 sièges aux prochaines élections.
Pourquoi en êtes-vous si sûr? Il y a des tensions tout de même au sein de ce gouvernement qui s’étalent sur la place publique…
Parce que j’entends les réactions de M. Etienne Schneider et des autres leaders qui tiennent à continuer à trois. Il y a des tensions chez les socialistes avec un Alex Bodry plus près de la base et les autres qui essaient de sauver ce qui peut l’être, du moment qu’ils conservent leurs fauteuils respectifs. On constate effectivement dans le dossier Knauf à Sanem et pour la fabrique de yaourts à Bettembourg ou encore le dossier Google que des tensions existent entre le ministère de l’Économie et celui du Développement durable. Il y a eu aussi des désaccords dans le dossier sur l’assurance dépendance et le dossier Revis qui a révélé des divergences entre le ministère du Travail et celui de la Famille. Mais il y a toujours eu des tensions entre les différents ministères dans les gouvernements précédents, sauf que les problèmes se réglaient en Conseil de gouvernement et pas sur la place publique.
Vous voulez dire que le Premier ministre, Xavier Bettel, ne sait pas tenir les troupes aussi bien que son prédécesseur?
C’est quand même au Premier ministre d’éviter qu’il y ait des bagarres au sein de son gouvernement, mais pour cela il faut connaître les dossiers pour pouvoir arbitrer. Des ministres qui règlent leurs comptes en public, ce n’est pas le “modèle luxembourgeois”.
Le modèle CSV a-t-il beaucoup changé entre 2013 et 2018?
Le CSV de 2018 n’a plus rien à voir avec celui de 2013. Nous avons modifié nos statuts, renouvelé nos candidats, changé notre personnel, mais nous restons fidèles à la ligne politique du parti.
Un parti qui a pour principal credo la volonté d’empêcher toute alliance des trois formations qui forment le gouvernement actuel…
Étienne Schneider a quand même dit que le LSAP voulait repartir à trois, c’est quand même une déclaration du vice-Premier ministre! Xavier Bettel et Dan Kersch ont dit la même chose. Quant à Alex Bodry, il n’exclut plus une coalition à trois.
Félix Braz l’a déjà dit aussi, même si les verts sont prêts à discuter avec nous, mais cela dépend du résultat.
Il est donc capital pour le CSV que ces trois partis obtiennent moins de 30 sièges. C’est un de nos objectifs, car c’est lia seule manière pour nous d’être sûrs de revenir au gouvernement.
Si vos jeunes candidats obtiennent plus de voix que les anciennes vedettes, ont-ils toutes les chances de se retrouver dans un gouvernement avec le CSV?
Il est évident qu’un renouveau est nécessaire. Je suis certain que des jeunes vont entrer au gouvernement et à des postes à responsabilités. D’abord il faut avoir une compétence, ensuite obtenir un bon résultat et je suis sûr que beaucoup d’entre eux vont réunir ces deux conditions.
Il y a les voix de Jean-Claude Juncker dans le Sud et de Luc Frieden dans le Centre à redistribuer, pensez-vous pouvoir les conserver?
Le CSV peut compter énormément sur les voix de liste. Beaucoup d’électeurs ont panaché pour donner une voix à Jean-Claude Juncker et ensuite ils ont voté à gauche ou à droite. Le plus faible résultat des voix de liste pour le CSV a toujours été dans le Sud à cause de Jean-Claude Juncker. Si 10 % des électeurs de Jean-Claude Juncker décident de choisir toute la liste CSV, nous obtiendrons plus de voix que les 67 000 de Jean-Claude Juncker aux dernières élections. Chez les socialistes avec Jean Asselborn et Mars Di Bartolomeo, c’est le même constat.
Vous parliez d’un Premier ministre qui ne connaît pas les dossiers…
Oui et même la presse internationale le dit, comme Le Figaro qui avait dressé un portrait de Xavier Bettel en précisant qu’il n’était pas un homme de dossier, surtout sur le plan européen.
Le même article disait aussi qu’il était une “bête politique”. Qu’estce que cela signifie pour vous?
C’est une bonne question. Je dirais que Xavier Bettel est capable de se vendre, il est partout, il est populaire. Je me rappelle l’avoir accompagné il y a une dizaine d’années de la Chambre jusqu’au boulevard Royal, mais nous avons mis dix minutes pour arriver à la Grand-Rue parce que Xavier Bettel saluait tout le monde et embrassait à tout-va.
C’est son caractère, mais cela n’a rien à voir avec une compétence politique. Avec notre système électoral, c’est ce qui fonctionne le mieux.
Vous défendez l’idée d’une circonscription unique?
Personnellement oui, mais ce n’est pas un avis que partage le Parti chrétien-social. Les petites circonscriptions surtout craignent de n’avoir aucune chance d’être représentées à la Chambre des députés.
Comment expliquez-vous la progression de I’ADR à l’Est?
C’est la circonscription de Robert Mehlen qui jouit d’une forte popularité en tant que membre fondateur du parti et le président Jean Schoos a occupé le terrain et s’est bien fait connaître au cours de ces cinq dernières années. On voit en revanche dans le Nord, où I’ADR est en recul, qu’il manque un leader charismatique dans cette circonscription.
Craignez-vous que le mariage entre I’ADR et l’association de plus en plus identitaire Wee 2050 puisse engendrer un bon résultat?
En tôut cas, ils se sont bien trouvés. On les savait proches l’un de l’autre à travers leurs idées et cette union n’est qu’une confirmation pour les observateurs. L’ADR a trouvé quelques personnalités, dont certains bons nationalistes comme Tom Weidig ou Fred Keup. Si vous me demandez ce que pense le CSV d’une coalition avec I’ADR, je peux déjà vous dire que nous sommes incompatibles sur de nombreux points, à commencer par la politique européenne.
Le CSV est-il rancunier?
En 2018 nous ne sommes plus en 2013 et le CSV, qui s’est fait éjecter des négociations il y a cinq ans, est prêt à discuter avec les trois partis actuellement au pouvoir selon les résultats. D’abord, il faut voir qui va gagner ces élections.
Les verts paraissent être une bonne option pour vous et c’est aussi ce que pense une partie des personnes sondées. Que pensez-vous de l’arrivée de Claude Turmes au gouvernement?
D’un point de vue électoral, c’est une décision très compréhensible.
Les électeurs en 2013 ont donné plus de 10 000 voix à Camille Gira, arrivé en tête chez les verts, et près de 4 000 voix à Christiane Wickler, deuxième sur la liste, qui a abandonné son poste de députée après quelques mois. Il fallait un poids lourd pour tenter de conserver ces 14 000 voix et le seul qui pouvait y prétendre était Claude Turmes, arrivé en troisième position aux élections européennes avec près de 70 000 voix. Son résultat dans le Nord était appréciable. Je pourrais encore ajouter que le CSV avait été pointé du doigt par les verts il y a neuf mois quand Viviane Reding a annoncé son retour à la politique nationale. Je constate qu’ils font aujourd’hui la même chose.
Vous-même, M. Spautz, êtesvous d’ores et déjà certain de faire partie du futur gouvernement?
(Il rit) Je n’ai pas encore réfléchi à ça, je veux gagner les élections.
Vous rêvez d’une majorité absolue?
Il faut rester réaliste. Ce n’est pas sain pour un gouvernement d’avoir une majorité absolue.
LE QUOTIDIEN du lundi 18 juin 2018 / Geneviève Montaigu
Die Digitalisierung stellt einen fundamentalen Wandel vieler Aspekte unseres Lebens dar. Eine Digitalisierung, die vernünftig und verantwortungsvoll genutzt wird, erleichtert die Lebensorganisation und bereichert den Alltag. Dazu gehört übrigens auch der souveräne Umgang mit ihr und die digitalen Geräte zum richtigen Zeitpunkt wegzulegen.
Für die Wirtschaft stellt die Digitalisierung einen Innovationsschub dar, der neue Perspektiven eröffnet. Der Einsatz der IT-Techniken schafft Möglichkeiten, um das Know-how, das den Wirtschaftsstandort Luxemburg auszeichnet, weiterzuentwickeln und in die neue Zeit zu tragen. Das zählt für jeden Sektor, die Industrie, den Mittelstand, den Finanzplatz …
Mit den Veränderungen der Arbeitswelt durch die Digitalisierung verändern sich vor allem auch die Arbeitsbedingungen. Für viele Arbeitnehmer bieten sich interessantere und abwechslungsreichereTätigkeiten an. Ihre berufliche Aktivität ist zum Teil nicht mehr zeit- und ortsgebunden.
Neben neuen Möglichkeiten zeichnen sich aber auch Risiken ab, die in der Diskussion, die zur Zeit u.a. im Rahmen der Rifkin-Studie geführt wird, nur unzureichend thematisiert werden.
Digitalisierung kann zu mehr Stress und Arbeitsverdichtung für die Arbeitnehmer führen. Der sich auflösende feste Rahmen von Arbeitszeit und Arbeitsort verstärkt die Gefahr der Selbstausbeutung und der persönlichen Überforderung.
Die rezente Studie der Arbeitnehmerkammer „Quality of work index“, die in Zusammenarbeit mit der Universität Luxemburg erstellt wurde, ist in diesem Zusammenhang aussagekräftig: Für zahlreiche Arbeitnehmer geht die Digitalisierung mit einem wachsenden psychischen Druck einher. Die Anzahl von unterschiedlichen Aufgaben nimmt laufend zu. Die ständige Erreichbarkeit ausserhalb des Arbeitsplatzes und der Arbeitszeiten stellt eine psychische Belastung dar, die immer öfter zu beruflichen Erschöpfungszuständen führt.
So darf die Arbeit der Zukunft nicht aussehen. Der Mensch muss auch in der digitalen Arbeitswelt das Maß aller Dinge sein.
Dies zu bewerkstelligen, ist die Aufgabe der Sozialpartner und der Politik, die gemeinsam ein klares Regelwerk zum Schutz aller Arbeitnehmer vorlegen müssen.
Ein verlässlicher Arbeits- und Sozialschutz muss dabei vor allem auch für die wachsende Zahl von Beschäftigten in atypischen Arbeitsverhältnissen gelten, die z.B. als Solo-Selbständige auf Internetplattformen unterschiedliche Dienstleistungen anbieten.
Die Digitalisierung darf nicht in einem sozialen Vakuum stattfinden, wo wesentliche Standards von Artikel 121 des Arbeitsgesetzbuchs bezüglich Entlohnung, Arbeitsbedingungen und Arbeitszeiten plötzlich nicht mehr zählen.
Das Leitbild der CSV ist deshalb ganz eindeutig, dass alle Beschäftigten, sowohl in der analogen wie der digitalen Arbeitswelt auf einer sicheren sozialen Grundlage arbeiten und neben einer fairen Entlohnung auch einen Anspruch auf soziale Absicherung erwerben.
Für die CSV beschränkt sich der digitale Innovationsschub daher nicht auf neue ökonomische Chancen. Arbeit ist auch im digitalen Zeitalter bedeutend mehr als nur Broterwerb, sondern sie bleibt ein wichtiges identitätsstiftendes Merkmal. Daher will die CSV im Dialog mit andern gesellschaftlichen Akteuren eine soziale Vision für das digitale Zeitalter gestalten.
Wir wollen als Volkspartei der sozialen Mitte die Fortschritte der Digitalisierung in gesellschaftlichen Fortschritt ummünzen.
Die Digitalisierung von Arbeit muss einhergehen mit einer Humanisierung der Arbeit, die an die wegweisenden Humanisierungsinitiativen früherer Jahre anknüpft, als es darum ging, schwere und eintönige Industriejobs menschenwürdiger zu gestalten.
Es handelt sich dabei um eine wesentliche Zukunftsaufgabe, die von den Arbeitgebern, Gewerkschaften und Betriebsräten in einem sozialpartnerschaftlichen Geist angegangen werden muss. Die politischen Entscheidungsträger sind ihrerseits verantwortlich für das verlässliche und stabile gesetzliche Fundament.
Luxemburg ist ein wohlhabendes Land. Doch wo viel Licht ist, gibt es auch Schatten. Zu den Schattenseiten gehört, dass das Armutsrisiko 2015 bei über 15 Prozent lag. Das größte Risiko, unter die Armutsgrenze zu fallen, haben ausländische Mitbürger, Personen mit geringen beruflichen Qualifikationen, Arbeitslose, kinderreiche Familien und Familien mit einem alleinerziehenden Elternteil. Erschreckend ist die hohe Armutsgefährdung bei Kindern.
Es muss gegengesteuert werden und es bedarf eines globalen Konzeptes, um zu verhindern, dass sich unsere Gesellschaft spaltet und ein Teil der Bevölkerung zurückbleibt.
Zu den wichtigsten Komponenten dieses Konzepts gehört eine Bildungspolitik, die alle Kinder fördert und die Jugendlichen entsprechend ihren individuellen Befähigungen optimal qualifiziert für die Anforderungen des modernen Berufslebens.
Die Bekämpfung der Arbeitslosigkeit gehört dazu. Die Arbeitslosigkeit geht zurück, doch Ende November 2016 waren immer noch über 16.000 Beschäftigungssuchende bei der ADEM eingeschrieben. Neben der Jugendarbeitslosigkeit muss der Hebel besonders auch bei der Bekämpfung der Langzeitarbeitslosigkeit sowie dem beruflichen Wiedereinstieg von älteren Arbeitssuchenden angesetzt werden.
Die Schaffung von erschwinglichem Wohnraum ist ein weiterer Bestandteil. Immer mehr Haushalte haben die größte Mühe, die Wohnkosten zu tragen. Es gibt hier keine einfachen Lösungen aber sicher wäre ein Schritt die Vereinfachung der Genehmigungsverfahren und die genaue Überprüfung, welche Prozeduren vereinfacht und zusammengeführt werden können.
Insbesondere gehört zu einem globalen Konzept, das geeignet ist, das Armutsrisiko dauerhaft zurückzudrängen, eine Sozial- und Familienpolitik in der die einzelnen Maßnahmen passgenau aufeinander abgestimmt sind.
Doch an dieser Herausforderung ist die Regierung bisher gescheitert. Viele ihrer Entscheidungen sind nicht bis zum Schluss durchgedacht und belasten oft überproportional die sozialschwächeren Familien und Haushalte.
Die Abschaffung der Erziehungszulage hat besonders jene Haushalte belastet, die am stärksten auf Unterstützung angewiesen sind. Die Regierung berücksichtigte nicht, dass viele Bezieher zu zweit arbeiteten, aber trotzdem unter der bestimmten Einkommensgrenze blieben.
Mit der Reform der Familienzulagen wurde die Staffelung des Kindergeldes je nach Anzahl der Kinder abgeschafft. Die Regierung ignoriert, dass beträchtliche Mehrkosten entstehen, wenn eine Großfamilie z.B. eine größere und teurere Wohnung braucht.
Die CSV hat sich strikt gegen diese Reform des Kindergeldes ausgesprochen, weil diese Reform das Gegenteil von sozialer Selektivität ist (obwohl beim Antritt der Regierung gerade die soziale Selektivität als eines der wichtigsten Prinzipien angeführt wurde). Nicht von ungefähr haben sich Gewerkschaften und Sozialverbände wie die Caritas deutlich gegen diese Maßnahmen ausgesprochen.
Dass die Regierung eine kohärente politische Strategie verfolgt, ist bisher nicht zu erkennen. Und es ist kaum zu glauben, dass in allen drei Mehrheitsparteien das kritiklos und ohne zu hinterfragen hingenommen wird. Besonders einer der drei Partner hat offenbar seine Grundprinzipien von Verteilungsgerechtigkeit und sozialer Chancengleichheit aufgegeben.
Deshalb war es auch eigentlich keine Überraschung, dass die sozialen und auf mehr Gerechtigkeit abzielenden Alternativvorschläge der CSV bei der Steuerreform nicht berücksichtigt wurden.
Man darf jetzt gespannt sein auf die Diskussionen rund um die lang erwartete und nun anstehende Reform des RMG. Das Gesetzesprojekt soll kommende Woche im Parlament deponiert werden. Für eine Analyse des vorgesehenen „Revenu d’inclusion sociale“ ist es noch zu früh, bekanntlich steckt der Teufel im Detail.
In der Debatte über die Gestaltung eines qualitativen Wachstums und einer nachhaltigen Lebensqualität muss der Aspekt der Dezentralisierung besonders im Mittelpunkt stehen. Der industrielle Aufschwung des Landes war auch geprägt von Bevölkerungsverschiebungen. Viele Luxemburger, besonders aus dem Norden des Landes, siedelten sich in der Minette-Region, in der direkten Nähe ihrer Arbeitsplätze in den Eisenerzminen und Stahlwerken neu an. Ähnlich verhielt es sich mit dem Goodyear-Werk in Colmar-Berg. Viele Arbeiter und Angestellte ließen sich in den Nachbargemeinden nieder.
Heute ist die Nähe zum Arbeitsplatz für die meisten von uns nicht mehr gegeben. Die massiven Staus und die Überbelastung des öffentlichen Transports im Berufsverkehr belegen das Tag für Tag. Der Verlust an Lebensqualität und an Zeit für die Familie ist enorm. Um unser Mobilitätsproblem zu lösen, wird es wesentlich sein, mit der jahrzehntealten Logik zu brechen, dass Finanz- und Versicherungsunternehmen, die Dienstleistungsbranche und Verwaltungen sich vorwiegend in Luxemburg-Stadt und deren Randgemeinden ansiedeln. Dabei sind geeignete Flächen mit guten Verkehrsanschlüssen auch in den anderen Landesregionen vorhanden.
Neue landesplanerische Logik
Luxemburg braucht eine überlegte Dezentralisierung. In dieser Hinsicht wurde bereits unter dem Impuls von CSV-Politikern viel umgesetzt. Das Musterbeispiel ist Esch-Belval mit der Ansiedlung der „Uni Lëtzebuerg“. Die Universität zog und zieht weitere Forschungsaktivitäten an, denen wiederum innovative Unternehmen folgen, die neue Produkte entwickeln und vermarkten.
So ändert sich das Bild des Südens: Eine Region, die unter einem wirtschaftlichen Gesichtspunkt, hauptsächlich von Industriezonen geprägt ist, entwickelt sich fort zu einer Region, in der die klassische Industrie weiter ihren angestammten Platz hat, aber auch innovative Unternehmen und Start-ups mit neuen Produkten und Dienstleistungen auf den Markt drängen.
Diese Politik der landesplanerischen Dekonzentration muss entschlossen fortgesetzt werden. Wohnen, Arbeit und Freizeit müssen wieder näher zueinander geführt werden, so wie es bereits im Integrativen Verkehrs- und Landesentwicklungskonzept (IVL) angedacht wurde. Es braucht die Aufwertung der regionalen Zentren, Echternach, Grevenmacher, Remich, Clerf, Ulflingen, Wiltz, der Nordstad, in den Kantonen Redingen, Capellen und Mersch (…) ebenso wie die weitere Aufwertung der Minette-Region. Neben Handwerks- und Handelsbetrieben sowie Industrieunternehmen muss in deren Aktivitätszonen durch eine durchdachte Politik die Ansiedlung von Dienstleistungsunternehmen, die sich zurzeit in und um Luxemburg-Stadt ballen, gefördert werden. Auch öffentliche Verwaltungen könnten weiter dezentralisiert werden.
Hinzu kommt, dass sich aus der Digitalisierung der Wirtschaft völlig neue Möglichkeiten für die räumliche Verteilung der wirtschaftlichen Aktivitäten ergeben. Sicher können dadurch nicht alle Mobilitätsprobleme gelöst werden, aber die Kombination von Dezentralisierung und Digitalisierung stellt die konkrete Chance dar, einen negativen Trend umzukehren. Hier muss die nationale Politik mit den Sozialpartnern (da es ja auch um wirtschaftliche Effizienz und Wohlbefinden am Arbeitsplatz geht) und den Gemeinden eine Strategie entwickeln und klare Zielvorgaben formulieren.
Viele Politikbereiche sind involviert: Wirtschaftspolitik, Infrastruktur- und Transportpolitik, Wohnungsbau, Umwelt, Innen- und Kommunalpolitik. Die Gemeindefinanzreform, die aktuell zur Diskussion steht, kann ein maßgeblicher Hebel sein und eine Lenkungsfunktion wahrnehmen, aber besteht dazu der Wille? Es wäre für die künftige Landesentwicklung nicht gut, wenn bei der vorgesehenen Gemeindefinanzreform jetzt parteipolitisches Kalkül vorherrschen würde und nicht eine langfristige Vision für die Gemeinden und das Land.
Parteipolitik überwinden
Die Politik ist gefordert, über ihren parteipolitischen Schatten zu springen und parteiübergreifend den Konsens zu suchen, was die wirtschaftliche Dezentralisierung des Landes betrifft. Schon allein aus dem Grund, dass jede landesplanerische Strategie notgedrungen mehrere Legislaturperioden mit wechselnden Mehrheiten umfasst und das Rad nicht jedes Mal neu erfunden werden kann.
Die Dezentralisierung richtet sich nicht gegen die Hauptstadt. Es ist nicht die Aufgabe von Luxemburg-Stadt, alles auf ihrem Gemeindeterritorium zu vereinen. Berlin als deutsche Hauptstadt beherbergt auch nicht alle Institutionen oder Firmen. Das Bundesverfassungsgericht hat seinen Sitz in Karlsruhe. Viele große Firmen haben ihre Zentrale in München, während in Frankfurt die Banken angesiedelt sind. Auch das Saarland kann als Beispiel herangezogen werden, Saarbrücken ist die Landeshauptstadt, aber es gibt weitere regionale Ballungszentren.
Die überlegte Dezentralisierung setzt einen tiefgründigen Mentalitätswandel voraus. Ihr Ziel ist, das Zentrum des Landes verkehrsmäßig zu entlasten und neue Perspektiven für die anderen Regionen zu schaffen. Sie ist wirtschaftlich sinnvoll, weil sich viele Lieferungen, Anfahrten zu Baustellen und Dienstfahrten beschleunigen. Vor allem bedeutet überlegte Dezentralisierung, dass sich durch kürzere Distanzen zum Arbeitsplatz zehntausendfach Lebensqualität und Lebenszeit gewinnen lassen. Und das jeden Tag.
Die Politik tut sich schwer damit, wirksame Rezepte gegen die Politikverdrossenheit zu finden. Die Zahl der Bürger wächst, die beklagen, dass die Politik nicht wirksam handelt, dass Politiker sich zusehends von der Lebenswirklichkeit der Menschen entfernen und daran scheitern, Probleme zu lösen.
Hier ist es wichtig, Abhilfe zu leisten und wieder ein positives Bild der Politik zu vermitteln. Es gilt, dass wir uns gemeinsam um die Revitalisierung einer breiten politischen Debatte bemühen. In dieser Debatte müssen wir die Europapolitik, nationale Politik und Kommunalpolitik zur Sprache bringen. Wir müssen verdeutlichen, dass es sich nicht um voneinander getrennte politische Sphären handelt, sondern alle Politikebenen sich überschneiden und gegenseitig beeinflussen.
Ein Beispiel hierfür ist die Klimapolitik: Das Klimaschutz-Abkommen von Paris wurde von der Europäischen Union im Namen aller Mitgliedsstaaten ausgehandelt. Die Politik in den einzelnen Staaten setzt den Rahmen für Klimaschutzmaßnahmen auf nationaler Ebene. Die Politik auf kommunaler Ebene handelt vor Ort mit konkreten Projekten.
Die Revitalisierung der politischen Debatte stellt die Politik und besonders politische Parteien vor die Herausforderung, deutlich zu machen, wer an welcher Stelle was bewegt und bewirken kann. Wir müssen wieder ein positiveres Bild von Politik präsentieren, in dem erkennbar wird, wie konkrete politische Arbeit auf Sachfragen die Lebenswirklichkeit der Menschen zum Besseren ändert. Die Voraussetzung dafür ist, dass die politisch Handelnden auf die Bürger zugehen, ihnen zuhören und sich mit ihren Problemen auseinandersetzen. In diesem Sinne ist Politik in erster Linie das beharrliche Arbeiten auf Sachdossiers und nicht die Präsenz auf Generalversammlungen und Volksfesten.
Die größte Gefahr für jede Demokratie ist, dass ein wachsender Teil der Bevölkerung überhaupt keine Erwartungen mehr an die Politik hat, weil er davon ausgeht, dass die Politik ihm sowieso nicht bei seinen Problemen hilft. Eine solche Entwicklung hat das Potenzial für eine soziale und politische Radikalisierung, die Wasser auf die Mühlen von populistischen Parteien ist.
Auch Politiker sind nur Menschen und machen Fehler. Es ist aber falsch, daraus zu verallgemeinern, dass Politik insgesamt ein Übel ist und allen Politikern pauschal zu unterstellen, dass ihnen persönliche Interessen wichtiger wären als das Allgemeinwohl.
Und um gerade mit diesem falschen Eindruck aufzuräumen, müssen wir uns darum bemühen, engagierte Bürgerinnen und Bürger zur aktiven politischen Mitarbeit zu bewegen. Auch mit Blick auf die Gemeinderatswahlen in einem Jahr.
Gleichzeitig müssen wir darauf achten, dafür Personen aus allen Schichten anzusprechen. Alle sozialen Milieus, Altersgruppen, Luxemburger und Nicht-Luxemburger, Frauen und Männer müssen mit fachlich und sozial kompetenten Vertretern an der politischen Entscheidungsfindung teilnehmen. Das ist das Kernstück einer lebendigen Demokratie und die wichtigste Voraussetzung für die Revitalisierung der politischen Debatte.
Parteien und Politiker können auf eine feste Akzeptanz in der Bevölkerung nur zählen, wenn sich alle Bürger, unabhängig von ihrem „Background“ in den Parteien und Politikern wiedererkennen.
Der Zulauf, den populistische Parteien in einer Reihe von Ländern haben, hat eben auch damit zu tun, dass sich ganze soziale Gruppen mit ihren Anliegen und Sorgen nicht mehr in den etablierten Parteien vertreten fühlen.
Auch das politische System in Luxemburg ist gegen diesen besorgniserregenden Trend nicht immun. Es ist eine gesamtgesellschaftliche Aufgabe ihn umzukehren. Besonders aber ist es die gemeinsame Aufgabe aller Politiker und Parteien, die an kompromissfähigen Problemlösungen im Interesse der Menschen interessiert sind.
Nachdem die CSV im Frühjahr die Idee aufwarf, eine umfassende und strukturierte Diskussion über die zukünftige Entwicklung des Landes zu organisieren und zu prüfen, welche Alternativen es zum 1,1-Millionen-Einwohner-Staat gibt, war die Reaktion der Regierung heftig und überzogen.
Sowohl der Premierminister, der Vizepremierminister und besonders der Nachhaltigkeitsminister lehnten den Vorschlag ab, ohne sich zuvor die Mühe zu machen, sich auf eine seriöse Weise damit auseinanderzusetzen.
Zur Erinnerung: Was war das Anliegen der CSV? Vor dem Hintergrund einer dynamischen demographischen und wirtschaftlichen Entwicklung sollte ein Zukunftstisch mit den Sozialpartnern und der Zivilgesellschaft organisiert werden, an dem auf eine transparente und geordnete Weise über die Entwicklungsperspektiven des Landes diskutiert wird und unterschiedliche Handlungsoptionen auf den Tisch kommen. Die Dringlichkeit des Zukunftstischs geht aus den Zahlen hervor. Allein 2015 betrug das Bevölkerungswachstum 14.000 Personen und es wurden über 10.000 neue Arbeitsplätze geschaffen.
Die Zivilgesellschaft, die Sozialpartner, Experten und Politik sollten sich am Zukunftstisch auf Augenhöhe begegnen und als gleichberechtigte Diskussionspartner über die Problemstellungen diskutieren, die sich bei der Entwicklung des Landes stellen. Am Zukunftstisch sollten landesplanerische, soziale, umweltpolitische und wirtschaftliche Aspekte der Entwicklungsdynamik vernetzt analysiert werden, um auf einer wissenschaftlich fundierten Basis gemeinsam wahrscheinliche Zukunftsszenarien zu entwerfen.
Nicht mehr und nicht weniger !
Doch die Regierung blockte die Initiative der CSV mit Polemik und einem gehörigen Schuss Arroganz ab.
Kehrtwende der Regierung
Über den Sommer setzte dann die völlige Kehrtwende ein: Mit der gleichen Vehemenz mit der vor allem der Nachhaltigkeitsminister den Zukunftstisch ablehnte, fördert die Regierung ihn nun. Es ist nur schade, dass die Regierung für ihren Meinungswandel sechs Monate gebraucht hat, sechs wertvolle Monate, die nutzlos verloren gingen.
Denn die zentralen Fragen sind die gleichen wie sie von der CSV bereits zu Anfang des Jahres aufgeworfen wurden:
Wie ist es mit der Verkehrsinfrastruktur?
Die Verkehrsprobleme werden weiter ausarten, wenn das Wachstum, dem sich die Regierung mit ihrer kurzsichtigen Finanz- und Haushaltspolitik alternativlos verschrieben hat, tatsächlich eintritt. Die Verkehrsüberlastung ist dabei bereits heute Realität. Sie droht zu einem Standortnachteil zu werden, wenn Lieferketten nicht mehr funktionieren, Kunden im Stau stehen und die Grenzgänger, auf deren Arbeitskraft wir angewiesen sind, unser Land meiden, weil der Weg zur Arbeit, bzw. die Heimfahrt einen zu großen Zeitverlust darstellt. So müssen Grenzpendler z.B. von Trier oder Thionville für die tägliche An- und Rückfahrt über drei Stunden berechnen und das mit weiter ansteigender Tendenz.
Die richtigen Fragen stellen
Auch wenn der Öffentliche Transport weiter nach Kräften ausgebaut wird, so wird parallel auch der Individualverkehr zunehmen. Wir kommen in diesem Zusammenhang nicht am weiteren Ausbau des Straßennetzes vorbei. Besteht die Möglichkeit, die Kapazitäten des Autobahnnetzes auszubauen (sowohl für den Individualverkehr als auch für den Öffentlichen Transport)? Wem gehören die Trassen entlang der Autobahnen? Dem Staat oder wie sind die Besitzverhältnisse? Hier müssen wir heute die richtigen Fragen stellen.
Wie verhält es sich vor dem Hintergrund der demographischen Entwicklung mit der zukünftigen Gesundheitsversorgung und den Krankenhaus- und Pflegeinfrastrukturen?
Der Bevölkerungszuwachs mit der sich verändernden Altersstruktur und mehr älteren Menschen stellt das Gesundheitswesen vor neue gewaltige Herausforderungen. Der Bedarf an Gesundheitsleistungen sowie der Infrastrukturbedarf werden stark ansteigen.
Auch hier braucht es eine Gesamtstrategie, die auf der Grundlage von mittel-und langfristigen Entwicklungsszenarien erstellt wird. Der Spitalplan liefert auf eine Reihe von Fragen Antworten, aber es bleiben auch noch Fragen offen. Das übergeordnete Ziel muss dabei ein doppeltes sein: Zum einen eine flächendeckende, patientennahe und hochwertige Gesundheitsversorgung, die weiter höchste Qualitätsstandards sichert zum anderen muss der allgemeine Zugang zu den gleichen Gesundheitsleistungen gewährleistet und jedes Abgleiten in eine Zwei-Klassen Medizin verhindert werden.
Und es reicht nicht aus, um die langfristige Finanzierung einer zusehends kostspieligen Gesundheitsversorgung zu sichern (bei einer wachsenden Bevölkerung und einem größeren Anteil älterer Menschen), ausschließlich auf mehr Beitragszahler in die Sozialkassen zu setzen.
Vorsorge und Prävention müssen die besonderen Schwerpunkte der Gesundheitspolitik werden.
Ein weiterer wichtiger Ansatz ist der Ausbau der ambulanten Behandlung, ohne dass dies zu Lasten der Patienten sein darf oder zu einer Überbelastung der ambulanten Pflegedienste führt.
Auch hier kann die Politik nicht allein entscheiden, sondern sie muss sich mit allen Akteuren konzertieren: Dem im Gesundheitswesen tätigen Personal, den Krankenhausbetreibern, den Interessenvertretern der Patienten sowie den Sozialpartnern.
Eine dritte maßgebliche Frage lautet, wie die angespannte Situation auf dem Wohnungsmarkt entschärft werden kann.
Es ist der aktuellen Regierung nicht gelungen, die Kostenspirale auf dem Wohnungsmarkt zu brechen, trotz der gerade in diesem Zusammenhang besonders vollmundigen Versprechen bei Regierungsantritt. Die Schere am Wohnungsmarkt öffnet sich weiter. Das Bevölkerungswachstum setzt voraus, dass jedes Jahr rund 6.500 Wohneinheiten errichtet werden. Zurzeit werden aber nur 3000 fertiggestellt.
Hier muss vordringlich die administrative Vereinfachung kommen, die ebenfalls von Rot, Blau und Grün großspurig angekündigt wurde. Weil eine einzelne Genehmigung fehlt, verzögert sich oft die Baulanderschließung oder es stellt sich heraus, dass die existierenden Kanalinfrastrukturen und Kläranlagenkapazitäten unzureichend sind und erst nach neuen langwierigen Genehmigungsprozeduren angepasst werden können.
In den 90er Jahren ist zu einem Moment die Idee aufgekommen auf Nossbierg eine neue Ortschaft zu schaffen, diese Idee wurde in der Folge wieder fallen gelassen. Aber wäre das vielleicht heute eine Idee, die wieder aufgegriffen wird, um an einem geeigneten Ort eine neue Ortschaft zu konzipieren und zu bauen? Eine neue Ortschaft, in der die notwendigen sozialen Infrastrukturen und Geschäfte von Anfang an mitgeplant werden, in der alle Bauten den erforderlichen Klimaschutz- und Umweltstandards entsprechen und in welcher der Öffentliche Transport von Anfang an Vorrang vor dem Individualverkehr hat.
Auch diese Idee würde zweifellos nicht allein die Schieflage am Wohnungsmarkt beseitigen. Sie könnte aber vielleicht den Trend, dass Wohnen im Vergleich zu den anderen Lebenshaltungskosten zusehends teurer und für viele Familien unfinanzierbar wird, in einer ersten wichtigen Etappe bremsen. Sie könnte uns den notwendigen Atem verschaffen, eine unhaltbare Situation – nämlich dass Wohnen in Luxemburg zu einem Luxus wird – Schritt für Schritt zu beseitigen. Wie gesagt: Zauberlösungen um die Probleme am Wohnungsmarkt über Nacht verschwinden zu lassen, gibt es nicht. Aber es gibt die Möglichkeit, durch beharrliches ziel- und resultatorientiertes Arbeiten den Negativtrend umzukehren.
Auch hier muss die Politik auf die Problemlösungskompetenz von anderen Partnern zurückgreifen, die oft durchdachte Modelle ausgearbeitet haben, aber in den Ministerien und Verwaltungen nicht durchdringen weil diese im Korsett des politischen Tagesgeschäfts und einer bürokratischen Überregulierung gefangen sind.
Verkehrsinfrastruktur, Gesundheitsversorgung Wohnungsbau … das sind nur drei Beispiele, wo die verantwortlichen Politiker endlich über ihren Schatten springen müssen und unvoreingenommen den Erfahrungsschatz der Zivilgesellschaft, von Unternehmen, Gewerkschaften, Experten und engagierten Bürgern nutzen müssen.
Diskussion zwischen gleichberechtigten Partnern
Was es braucht, ist eine Diskussion auf Augenhöhe, ohne dass die politisch Verantwortlichen die Schlussfolgerungen bereits in der Schublade haben.
Und genau das stört in der aktuellen Diskussion. Es ist die Regierung und insbesondere der Nachhaltigkeitsminister der alles bestimmt: den Zeitplan (nachdem er sehr lange auf der Bremse stand), die Tagesordnung, den Diskussionsrahmen und den Teilnehmerkreis.
Das ist eine von oben orchestrierte Scheindebatte, ein Publicity Event aber keine öffentliche Diskussion zwischen gleichberechtigten Partnern in der sich neue Ideen entfalten können.
Neue Ideen, die wir übrigens auch brauchen zur nachhaltigen Ausrichtung und finanziellen Absicherung des sozialen Netzes. Wir sollten die zurzeit gute Konjunktur nutzen, um in Ruhe und durchdacht die langfristige Gestaltung unseres sozialen Netzes zu planen. Ein forciertes Wachstum ist auch hier keine dauerhafte Lösung.
Mit einigen Diskussionsrunden, ausgewählten Gesprächspartnern und einer fest geschnürten Tagesordnung ist es nicht getan. Kreativität und Kompetenz limitieren sich nicht auf einige wenige Regierungsmitglieder, Interessenvertreter und Fraktionsvorsitzende, die zuvor gnädig vom Minister ausgewählt wurden.
Das ist nicht der Zukunftstisch, den das Land braucht.
Es ist sehr überraschend festzustellen, dass sich der LSAP-Parteipräsident Sorgen um die inhaltliche Positionierung der CSV macht. Er sei beruhigt: Die CSV ist und bleibt ihrer sozial-politischen Linie und ihren sozialen politischen Überzeugungen treu, unabhängig davon, wen der CSV-Nationalrat am kommenden Montag als nationalen Spitzenkandidaten vorschlägt.
Dass die CSV ihren sozialen Werten treu bleibt, hat sie nicht zuletzt am Mittwoch bewiesen, als sie die Kindergeldreform, eine durch und durch ungerechte Maßnahme, ablehnte. Das, im Gegensatz zur LSAP, die auch diese unsoziale Familienpolitik mitträgt, so wie sie widerstandslos auch die ersatzlose Abschaffung der Mutterschafts- und Erziehungszulagen, die zum 1. Januar 2015 eingeführte Zusatzsteuer in Höhe von 0,5 %, sowie das sozial unausgewogene Sparpaket mittrug.
Es ist traurig, mitanzusehen wie die LSAP, die während Jahrzehnten gemeinsam mit der CSV ein sicheres und vorbildliches Sozialnetz aufgebaut hat in der aktuellen Koalition widerspruchslos jede Kröte schluckt und die soziale Kehrtwende vollzieht. Die LSAP war einmal eine Partei mit einem feinen sozialen Gespür, heute ist sie Wahlverein für kalt berechnende Politopportunisten.
Wir wünschen der LSAP, dass sie wieder zu ihren sozialen Wurzeln zurückfindet und dass sie die sich anbahnende Regierungsumbildung mit einem amtsmüden Arbeitsminister gut über die Bühne bekommt.
Vor rund einer Woche nahm der Conseil national des finances publiques, CNFD, die Finanz- und Haushaltspolitik der Regierung kritisch unter die Lupe.
Das unabhängige Kontrollorgan kritisierte besonders, dass die Regierung ihre eigene budgetäre Zielvorgabe nach unten revidiert. Anstatt bis 2018 einen Haushaltsüberschuss von +0,5 Prozent erreichen zu wollen, senkt sie nun ihr Haushaltsziel auf -0,5 Prozent. Damit verzichtet die Regierung auf eines der wichtigsten Ziele, das sich die Dreierkoalition bei Regierungsantritt auf die Fahnen geschrieben hatte und das auch unmissverständlich im Koalitionsvertrag festgehalten ist: “atteindre d’ici la fin de la période de législature un solde structurel des finances publiques d’au moins +0,5% du PIB.“
Begründet wurde diese Zielvorgabe im Koalitionsvertrag mit dem Verweis auf die Volatilität der Einnahmen und dem Bestreben, Defizite zu vermeiden, welche die nachhaltige Ausrichtung der öffentlichen Finanzen beschädigen.
Nun hat die Regierung einen radikalen haushaltspolitischen Kurswechsel vorgenommen, dem, laut CNFD, eine „aggressive Hypothese“ zugrunde liegt: Es ist einerseits die Vorwegnahme eines Bevölkerungswachstums auf 1,2 Millionen Einwohner sowie andererseits einer Verschuldung die sich an der Maastricht-Grenze von 60 Prozent orientiert.
Die Folgen einer solchen demographischen Dynamik blendet die Regierung dabei aus: Schulen- und Sozialinfrastrukturen, die praktisch verdoppelt werden müssen, ein Wohnungsbau der sich vor noch größeren Herausforderungen sieht als bereits heute, Verkehrsinfrastrukturen, die weiter ausgebaut werden müssen, nicht nur wegen der sich verdoppelnden einheimischen Bevölkerung, sondern auch wegen der weiter ansteigenden Zahl von Grenzgängern. Ein alternatives Szenario zu dieser „aggressiven Hypothese“ schlägt die Regierung nicht vor.
Anstatt die positive Konjunktur (mit einem Wirtschaftswachstum von 4,8 Prozent im vergangenen Jahr) zu nutzen, für Schulden- und Defizitabbau, lassen Rot, Blau und Grün die Schuldenlast weiter ansteigen. Laut Stabilitäts- und Wachstumsprogramm steigt der Schuldenstand von 11,2 Milliarden Euro in 2015 auf 16 Milliarden Euro bis 2020.
Nun verweist die Regierung regelmassig auf ihre Vorgängerinnen, die ebenfalls mit einer steigenden Schuldenlast konfrontiert waren. Doch dieses Argument hinkt auf beiden Beinen: Die Regierungszeit von CSV und LSAP war geprägt von der schwersten Wirtschaftskrise seit der großen Depression in den 30er Jahren des vorigen Jahrhunderts. Das Schnüren von Anti-Krisen-Paketen, die Stabilisierung der Kaufkraft und Stützung von Banken musste mit Haushaltsmitteln gestützt werden und war eine Notwendigkeit, um die dauerhafte Verfestigung der Wirtschaftskrise und soziale Verwerfungen zu verhindern.
Die Opposition trug diese Politik mit, ebenso wie die Handelskammer und deren Direktor Pierre Gramegna, der die „antizyklischen und voluntaristischen Unterstützungsmassnahmen“ im Haushaltsentwurf für 2009 in höchsten Tönen lobte.
Doch gleichzeitig war den damals Verantwortlichen klar, dass die krisenbedingte Defizitausweitung nicht zum Normalfall werden dürfe und der Defizit- und Schuldenabbau in Zeiten der Hochkonjunktur gezielt angepackt werden muss.
Rot, Blau und Grün ignorieren dieses haushaltspolitische Gebot völlig. Ihr Ziel besteht darin, bei den Wahlen 2018 den völligen Schiffbruch zu vermeiden, und um dieses Minimalziel zu erreichen, ziehen Rot, Blau und Grün die Spendierhosen an. Sie verzichten, allen hehren Sprüchen zum Trotz, auf die Konsolidierung der Staatsfinanzen (den sprichwörtlichen „Apel fir den Duuscht“).
Verantwortungsbewusstes politisches Handeln sieht anders aus.
Lieber Joseph Daul, lieber Jean-Claude Juncker, lieber Donald Tusk, liebe Angela Merkel, werte Staats- und Regierungschefs, die Damen und Herren Kommissare, die Damen und Herren Minister, Abgeordnete, national und europäisch, liebe Freundinnen und Freunde.
Es ist für die CSV eine besondere Freude und Ehre, gemeinsam mit der EVP die Feierlichkeiten anlässlich des 40. Jahrestages der Gründung der EVP auszurichten. Als EVP-Präsident Joseph Daul mich vor rund einem Jahr fragte, ob die CSV interessiert sei, Gastgeber zu sein, habe ich gerne zugesagt.
Aus zwei Gründen: Erstens war es vor 40 Jahren ein paar hundert Meter von hier entfernt, wo die EVP gegründet wurde und zweitens gab es eine kleine Parallele: 1976 war die CSV in der Opposition. Heute, 40 Jahre später, sind wir in der gleichen Lage und wir sind in der Opposition.
Nach der EVP-Gründung 1976 haben wir 1979 ein fantastisches Wahlresultat erreicht mit acht Prozent mehr und es war nicht mehr möglich ohne uns und gegen uns eine Regierung zu bilden.
Und so gehen wir jetzt davon aus, mit eurer aller Mithilfe, dass es uns gelingen wird, auch 2018, die Wahlen zu gewinnen und dass es nicht mehr möglich sein wird, ohne und gegen die CSV eine Regierung in Luxemburg zu bilden.
Daher recht herzlich willkommen in Luxemburg.
Dass die EVP heute in Luxemburg ist, ist in der Tat eine Rückkehr zu den Wurzeln. Wenn ich davon sprach, dass am 8. Juli 1976 die EVP hier gegründet wurde, so darf man aber auch nicht vergessen, dass bereits 1948 die CSV Gastgeber eines Kongresses der Nouvelles équipes internationales war, die als Zusammenschluss christdemokratischer und christlich-sozialer Parteien ein Vorläufer der EVP waren.
Dieser Kongress hat dabei Geschichte geschrieben, Zwei Jahre vor dem Schuman-Plan stimmten Christdemokraten und Christlich-Soziale aus 18 europäischen Staaten darin überein, dass nach dem Schrecken des 2. Weltkrieges und des Totalitarismus der Wiederaufbau Europas nur als Gemeinschaftswerk gelingen kann, auf der Grundlage von Werten, die den einzelnen Menschen in den Mittelpunkt stellen.
Seither war die CSV ein verlässlicher Motor der europäischen Einigung und Zusammenarbeit der christdemokratischen Parteien und Parteien der Mitte. Wir sind stolz auf die vielen Frauen und Männer aus den Reihen der CSV die über Jahrzehnte ihre Kraft und ihre Talente in den Dienst der gemeinsamen europäischen Sache gestellt haben. Mit dem Ehrenpräsidenten der Europäischen Kommission, Jacques Santer, haben wir einen früheren EVP-Präsidenten in unseren Reihen, der die EVP in den Jahren führte, in denen sich in Mittel- und Osteuropa der Freiheitsgedanke durchsetzte. Wir sind besonders froh, all die Kolleginnen und Kollegen aus den Ländern, die nach 1989 zu uns gestoßen sind, recht herzlich hier zu begrüßen und wir freuen uns, dass sie heute bei uns sind.
Sehr geehrte Damen, sehr geehrte Herren,
Als Teil der EVP stehen wir heute für ein Europa ein, das vor enormen Herausforderungen steht, die sowohl in einer großen Anzahl als auch mit einer besonderen Intensität auftreten: Die Flüchtlingskrise, das Wiedererstarken des Nationalismus, die Wirtschafts- und Währungsunion, die weiter unvollständig bleibt, die viel zu hohe Arbeitslosigkeit und insbesondere die dramatische Jugendarbeitslosigkeit in einer Reihe von Mitgliedsländern, das drohende Ausscheiden von Großbritannien sind nur einige der drängendsten Herausforderungen.
Es ist an der EVP, an uns, zu verdeutlichen, dass nur die gemeinsame Herangehensweise zu tragfähigen Lösungen führt.
Die Bewältigung der Flüchtlingskrise stellt eine solche Herangehensweise dar. Mit Beharrlichkeit – Angela Merkel, Donald Tusk und Jean-Claude Juncker haben einen entscheidenden Anteil daran -, ist es gelungen, eine Stabilisierung herbeizuführen, mit deutlich weniger Ankünften auf den griechischen Inseln und deutlich weniger Menschen, die ihr Leben beim gefährlichen Weg über die Ägäis verlieren.
Die Sicherung der europäischen Außengrenzen wurde verbessert. Es gilt, mit diesen Bemühungen fortzufahren, die unerlässlich sind, um den Raum der Reisefreiheit, der Niederlassungs- und Bewegungsfreiheit, in einem Wort, Schengen, zu schützen.
Ich will dabei auch ausdrücklich auf die konstruktive und verlässliche Unterstützung hinweisen, die hier von der EVP-Fraktion, der größten Fraktion im Europaparlament geleistet wird. Es ist vor allem auch das Verdienst des EVP-Fraktionspräsidenten Manfred Weber, dem es immer wieder gelingt, die unterschiedlichen Standpunkte von 215 Abgeordneten aus 27 Staaten zusammenzuführen und deutlich zu machen, was das gemeinsame Interesse für Europa und für die EVP ist.
Dank der gemeinsamen Leistung von EVP-Vertretern in den europäischen Institutionen sowie in den nationalen Regierungen und Parlamenten ist es zu einer ersten wichtigen Stabilisierung gekommen. Der Druck auf die Binnengrenzen nimmt ab und das Schengen-Abkommen, die Freizügigkeit des Personenverkehrs in Europa, wird geschützt.
Wir Luxemburger ebenso wie unsere saarländischen, rheinland-pfälzischen, wallonischen und lothringischen Freunde wissen nur zu gut, welchen enormen Rückschlag es bedeuten würde, wenn dieser zentrale Pfeiler der europäischen Integration beschädigt würde. Der Schaden wäre unermesslich für Europa und besonders auch für unsere Region mit 175.000 Grenzpendlern und tausende Unternehmen, für die grenzüberschreitende wirtschaftliche Aktivitäten der Alltag sind.
Sehr geehrte Damen, sehr geehrte Herren, liebe Freunde,
Die Reise- und die Niederlassungsfreiheit in Europa sind eine zentrale europäische Errungenschaft für die sich die EVP mit Weitsicht und Beharrlichkeit eingesetzt hat.
Wir müssen die gleiche Weitsicht und Beharrlichkeit an den Tag legen, wenn es darum geht, die soziale Dimension von Europa zu stärken. Es sind 40 Jahre EVP an die wir heute denken. Doch diese Tage sind ebenfalls geprägt von 100 Jahren Verdun, wo gestern die Bundeskanzlerin und der französische Staatspräsident den schlimmen Kriegszeiten gedachten. Es ist aber auch der 125. Jahrestag der Veröffentlichung der Sozialenzyklika von Papst Leo XIII, Rerum Novarum, die am Ursprung des Konzepts der sozialen Marktwirtschaft steht, das Europa heute prägt.
Es muss unsere Aufgabe sein, die Kluft zwischen europäischen Institutionen und europäischen Bürgern zu schließen, indem wir dafür sorgen, dass sich die europäische Arbeitnehmerschaft in Europa besser aufgehoben fühlt.
Wir können Europa nicht ohne die Arbeitnehmerschaft zum Erfolg führen.
Daher dürfen wir die Arbeitslosigkeit und insbesondere die Jugendarbeitslosigkeit nicht hinnehmen. Weiterhin sind in der Eurozone rund 16,5 Millionen Menschen ohne Arbeit, davon sind fast 3 Millionen Menschen jünger als 25 Jahre.
Wir müssen daher die sozialen und beschäftigungspolitischen Bemühungen der vergangenen Jahre fortsetzen. Europäische Maßnahmen wie die „Initiative für Jugendbeschäftigung“, die 2013 unter dem Impuls von Ratspräsident Herman van Rompuy in Angriff genommen wurde, müssen nicht nur fortgesetzt, sondern weiter verstärkt werden.
In diesem Sinne plädiere ich auch dafür, offensiv dem Eindruck entgegenzutreten, dass es in Europa eine Aufgabenteilung geben würde, die wie folgt aussieht: Die Sozialisten sind für die sozialen Wohltaten zuständig während sich das Register der EVP auf Haushaltskonsolidierung und Austerität beschränkt. Dieser Eindruck ist völlig falsch.
Um es klar und deutlich zu sagen: Die ausbalancierte Kombination von ordentlicher Finanzpolitik, verantwortlicher Stabilitätspolitik und nachhaltiger Sozialpolitik ist in unseren Händen, den Händen der EVP, am besten aufgehoben.
Sehr geehrte Damen, sehr geehrte Herren,
Luxemburg ist das Land der kurzen Wege und wir sind hier, an dem Ort, wo wir uns befinden, nur wenige hundert Meter vom Geburtshaus eines großen europäischen Gründervaters, Robert Schuman, entfernt. Auch mit Blick auf die historische Lebensleistung dieses überzeugten Christdemokraten gilt es, anlässlich unseres Festaktes, die Gelegenheit zu nutzen, unsere gemeinsame und reiche Wertebasis in Erinnerung zu rufen: Toleranz, Solidarität, Offenheit, Vielfalt, Freiheit, Wahrung der Menschenwürde.
Das Ziel unseres heutigen Treffens ist zweifellos, auf das zurückzublicken was geleistet wurde und was uns in der Tat mit Stolz erfüllen kann. Die EVP und Vertreter der EVP haben am Europäischen Einigungswerk historischen Anteil.
Doch es ist heute besonders auch die Gelegenheit sich auf das zu besinnen und das zu vertiefen, was uns eint: Der gemeinsame Wille zum europäischen Einigungswerk beizutragen und für die Menschen in Europa eine durchdachte und ausgewogene Politik zu gestalten, die auf Werten beruht und die immer wieder aufs Neue wirtschaftliche Vernunft mit sozialer Verantwortung vereint.
In diesem Sinne heiße ich sie noch einmal im Namen der CSV herzlich willkommen. Happy Birthday EVP!”