Eine gemeinsame Herausforderung

Der Terrorismus fordert uns alle heraus. Das was in Paris geschehen ist, das ist ein brutaler und kriegerischer Angriff auf die Werte unseres gesellschaftlichen Zusammenlebens. Freiheit, Frieden und Toleranz sind den Fanatikern des IS ein Dorn im Auge. Die Politik ist herausgefordert diese Werte zu verteidigen.

Die CSV ist der Meinung, dass solch außergewöhnliche Situationen auch außergewöhnliches Handeln des Staates rechtfertigen. Wir stehen demnach auch hinter den politischen Entscheidungen im Nachbarland, das mit aller Härte gegen den Terror und seine Drahtzieher vorgeht und dabei europäische und internationale Hilfe einfordert.

Den Terror zu bekämpfen ist eine die Grenzen überschreitende Herausforderung. Hier ist besonders auch Europa gefordert. Unser Raum der Freiheit, der Sicherheit und des Rechts steht auf dem Spiel. Wir müssen demnach alles daran setzen, gegenzusteuern.

Wir müssen unsere Grenzen effizient schützen, dies ohne uns abzuschotten und uns Zuwanderung zu verschließen. Daten über Organisierte Kriminalität und Terrorismus müssen umfassend und schnell ausgetauscht werden können. Informationen über einem Land bekannte oder registrierte Radikale müssen unter den europäischen Ländern und deren Sicherheitsapparaten zirkulieren.

Die Überwachung von religiösen Extremisten und potentiellen Terroristen ist sicher ein aufwendiges Unterfangen. Aber es gibt dazu keine Alternative. Sicherheitskräfte und Nachrichtendienste brauchen daher die nötigen Mittel, um effizient arbeiten zu können.

Wichtig ist vor allem Prävention. Hierzu ein wichtiger Punkt: Wer Hass predigt und zu Hass und Gewalt aufruft, stellt sich gegen den Rechtsstaat und gegen die Prinzipien, auf denen unsere Gesellschaft fußt. Härtere Vorgehensmaßnahmen der öffentlichen Hand sind angebracht.

Das und noch viel mehr sind wir den Opfern des Terrorismus schuldig. Wir verneigen uns vor diesen unschuldigen Menschen.

Marc Spautz
Parteipräsident und Abgeordneter

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Pressekonferenz iwwert den Terrorismus an dei international an national Erausfuerderungen

Den CSV Fraktiounspresident Claude Wiseler huet direkt um Ufank kloer gestallt, dass dat hei keen Dossier ass fir Parteipolitik a scho guer kee fir Polemik ze maachen. D’CSV huet awer eng ganz Partie Ideeën an hofft mat der Regierung an d’Gespréich iwwert déi Positiounen ze kommen.

Hei kënn der déi ganz Pressekonferenz nolauschteren :

Anorexie a Boulimie : Wéi sinn d’Statistiken an d’Therapien zu Lëtzebuerg ?

Monsieur le Président,
Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que, conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Madame la Ministre de la Santé.
L’anorexie, la boulimie ou l’alternance des deux (anorexie-boulimie) représentent les formes les plus graves et les plus préoccupantes des troubles du comportement alimentaire. L’anorexie se traduit par un amaigrissement, une perte d’appétit, un refus de manger et, le cas échéant, d’une aménorrhée (interruption des règles). Malgré une perte de poids importante (qui ‘peut aller jusqu’à 50 % du poids normal pour l’âge) l’anorexique se trouve toujours trop grosse et son désir éperdu de minceur la pousse à un comportement mettant en danger sa propre existence (restriction alimentaire, jeûne, prises de diurétiques, de laxatifs, vomissements).
Actuellement l’on se doit d’observer sur les réseaux sociaux de véritables concours entre les jeunes afin de voir qui a la taille la plus mince etc.
Des statistiques internationales montrent que dans les pays occidentaux les troubles alimentaires sont en augmentation depuis les années 1970. En France, par exemple, il est estimé que plus de 230.000 personnes souffrent d’anorexie dont 90 % sont de sexe féminin. En Allemagne la répartition des chiffres va dans le même sens : 1,5 % des femmes et 0,5 % des hommes souffrent de l’anorexie dont la majorité est âgée de moins de 18 ans (55 % des filles et 33 % des garçons).
Dans ce contexte, j’aimerais poser les questions suivantes à Madame la Ministre de la Santé:
1. Existe-t-il des statistiques pour le Luxembourg ? Dans l’affirmative, combien de cas de boulimie et d’anorexie sont connus au Grand-Duché ? Comment ces cas connus ont-ils évolué durant les dernières décennies? Quel est le nombre estimé de personnes mineures concernées au Luxembourg? Quelle est la répartition par sexe des personnes atteintes au Grand-Duché?
2. Quelles thérapies ambulatoires et stationnaires sont offertes au Grand-Duché?
3. Quelles thérapies sont prises en charge par les caisses de maladie?
4. Est-ce que l’entrée en vigueur de la loi portant création de la profession de psychothérapeute a apporté des changements concernant la prise en charge des thérapies ne tombant pas sous le champ d’application de la loi ?
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, t’expression de ma très haute considération.

Nancy Arendt
Députée