Ginn et „falsch Kaderen“ am Banken- a Finanzsekter fir laanscht de Kollektivvertrag ze kommen ?

Réponse à la question N° 2645 (Question écrite) de Monsieur Marc Spautz, Député concernant Pratique des “faux cadres” dans les secteurs bancaire et financier, par Monsieur Nicolas Schmit, Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Economie sociale et solidaire, Monsieur Pierre Gramegna, Ministre des Finances: QP 2645

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que, conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Monsieur le Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Économie sociale et solidaire et à Monsieur le Ministre des Finances au sujet des « faux cadres » aux secteurs bancaire et financier.

Les syndicats représentatifs des secteurs bancaire et financier mettent en question la pratique des « faux cadres ». Dès lors dans certains établissements, près du tiers des salariés travaillerait sous le statut de cadre qui les exclurait des bénéfices de la convention collective de travail (CCT) s’appliquant au secteur bancaire et à d’autres volets du secteur financier. En pratique, cela signifierait que le treizième mois et la prime de juin seraient remplacés par un titre, une voiture de fonction et des heures supplémentaires non payées.

Dans ce contexte, j’aimerais poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Économie sociale et solidaire et à Monsieur le Ministre des Finances :

  • Est-ce que Messieurs les Ministres ont connaissance de cas dans lesquels le statut de cadre a été appliqué afin de contourner les dispositions et notamment les bénéfices de la convention collective ?
  • Messieurs les Ministres peuvent-ils confirmer la véracité des affirmations des syndicats concernant la pratique des « faux cadres » et son envergure ?
  • Messieurs les Ministres disposent-ils des statistiques concernant l’usage des « cadres » dans les établissements du secteur bancaire et du secteur financier ?
  • Quel serait un taux de cadres dans les établissements bancaires et financiers comparable à celui de nos pays voisins ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

Marc Spautz

Député

Wéini kritt de Motocross een Alternativsite ?

Réponse à la question N° 2614 (Question écrite) de Monsieur Marc Spautz, Député concernant Pratique du motocross au Luxembourg, par Madame Carole Dieschbourg, Ministre de l’Environnement, Monsieur Romain Schneider, Ministre des Sports: QP 2614

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Madame le Ministre de l’Environnement et à Monsieur le Ministre des Sports concernant la pratique de motocross au Luxembourg.

Le 6 mars 2015, Monsieur le Ministre des Sports avait tenté de calmer une polémique née autour du circuit de motocross de Bockholtz-Goesdorf en indiquant que l’autorisation d’exploitation de ce site ne serait pas venue à expiration, mais aurait été transféré au Ministère des Sports.

Il avait, par ailleurs, tenu à préciser qu’étant donné que le site ne se trouverait pas dans le PAG de la commune concernée, aucune modification pouvant garantir et améliorer la sécurité sur la piste ne serait possible. Il avait encore fait savoir que des solutions pour une approche plus souple pouvant satisfaire toutes les parties impliquées seraient sondées au sein du gouvernement. En tout cas, la recherche d’un site alternatif serait sans objet, alors que la pratique du motocross n’est pas interdite sur le site de Bockholtz.

Il me revient maintenant que la période d’ouverture du circuit – les mercredis de 13.00 à 19.00 et les samedis de 11.00 à 19.00 de mars à octobre (sauf fermetures ponctuelles pendant les périodes de chasse) – a été réduite. Depuis 2016, seules seraient encore autorisées des activités d’août à octobre du fait que le site serait situé dans une zone naturelle IBA.

Vu que la situation actuelle offre aux membres de la fédération de motocross des conditions d’entraînement encore moins favorables qu’en 2015, j’aimerais poser les questions suivantes à Madame et Monsieur les Ministres :

  • Le gouvernement a-t-il demandé l’avis de la Fédération de motocross avant de procéder au  classement du site de Bockholtz en zone IBA ? Dans l’affirmative, quelle a été la réaction de celle-ci par rapport au classement envisagé ? Dans la négative, le dossier en relation avec le classement a-t-il entretemps été mis à disposition de la fédération de motocross ?
  •  Le gouvernement n’estime-t-il pas qu’il serait indiqué d’aider enfin la Fédération de motocross à trouver un site alternatif ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma parfaite considération.

Marc Spautz

Député

CSV.lu 2016-12-02 12:04:54

Réponse à la question N° 2523 (Question écrite) de Monsieur Marc Spautz, Député concernant Reconversion des friches industrielles à Esch-sur-Alzette et Schifflange, par Monsieur Etienne Schneider, Ministre de l’Economie, Monsieur François Bausch, Ministre du Développement durable et des Infrastructure: qp-2523

Für eine überlegte Dezentralisierung

In der Debatte über die Gestaltung eines qualitativen Wachstums und einer nachhaltigen Lebensqualität muss der Aspekt der Dezentralisierung besonders im Mittelpunkt stehen. Der industrielle Aufschwung des Landes war auch geprägt von Bevölkerungsverschiebungen. Viele Luxemburger, besonders aus dem Norden des Landes, siedelten sich in der Minette-Region, in der direkten Nähe ihrer Arbeitsplätze in den Eisenerzminen und Stahlwerken neu an. Ähnlich verhielt es sich mit dem Goodyear-Werk in Colmar-Berg. Viele Arbeiter und Angestellte ließen sich in den Nachbargemeinden nieder.

Heute ist die Nähe zum Arbeitsplatz für die meisten von uns nicht mehr gegeben. Die massiven Staus und die Überbelastung des öffentlichen Transports im Berufsverkehr belegen das Tag für Tag. Der Verlust an Lebensqualität und an Zeit für die Familie ist enorm. Um unser Mobilitätsproblem zu lösen, wird es wesentlich sein, mit der jahrzehntealten Logik zu brechen, dass Finanz- und Versicherungsunternehmen, die Dienstleistungsbranche und Verwaltungen sich vorwiegend in Luxemburg-Stadt und deren Randgemeinden ansiedeln. Dabei sind geeignete Flächen mit guten Verkehrsanschlüssen auch in den anderen Landesregionen vorhanden.

Neue landesplanerische Logik

Luxemburg braucht eine überlegte Dezentralisierung. In dieser Hinsicht wurde bereits unter dem Impuls von CSV-Politikern viel umgesetzt. Das Musterbeispiel ist Esch-Belval mit der Ansiedlung der „Uni Lëtzebuerg“. Die Universität zog und zieht weitere Forschungsaktivitäten an, denen wiederum innovative Unternehmen folgen, die neue Produkte entwickeln und vermarkten.

So ändert sich das Bild des Südens: Eine Region, die unter einem wirtschaftlichen Gesichtspunkt, hauptsächlich von Industriezonen geprägt ist, entwickelt sich fort zu einer Region, in der die klassische Industrie weiter ihren angestammten Platz hat, aber auch innovative Unternehmen und Start-ups mit neuen Produkten und Dienstleistungen auf den Markt drängen.

Diese Politik der landesplanerischen Dekonzentration muss entschlossen fortgesetzt werden. Wohnen, Arbeit und Freizeit müssen wieder näher zueinander geführt werden, so wie es bereits im Integrativen Verkehrs- und Landesentwicklungskonzept (IVL) angedacht wurde. Es braucht die Aufwertung der regionalen Zentren, Echternach, Grevenmacher, Remich, Clerf, Ulflingen, Wiltz, der Nordstad, in den Kantonen Redingen, Capellen und Mersch (…) ebenso wie die weitere Aufwertung der Minette-Region. Neben Handwerks- und Handelsbetrieben sowie Industrieunternehmen muss in deren Aktivitätszonen durch eine durchdachte Politik die Ansiedlung von Dienstleistungsunternehmen, die sich zurzeit in und um Luxemburg-Stadt ballen, gefördert werden. Auch öffentliche Verwaltungen könnten weiter dezentralisiert werden.

Hinzu kommt, dass sich aus der Digitalisierung der Wirtschaft völlig neue Möglichkeiten für die räumliche Verteilung der wirtschaftlichen Aktivitäten ergeben. Sicher können dadurch nicht alle Mobilitätsprobleme gelöst werden, aber die Kombination von Dezentralisierung und Digitalisierung stellt die konkrete Chance dar, einen negativen Trend umzukehren. Hier muss die nationale Politik mit den Sozialpartnern (da es ja auch um wirtschaftliche Effizienz und Wohlbefinden am Arbeitsplatz geht) und den Gemeinden eine Strategie entwickeln und klare Zielvorgaben formulieren.

Viele Politikbereiche sind involviert: Wirtschaftspolitik, Infrastruktur- und Transportpolitik, Wohnungsbau, Umwelt, Innen- und Kommunalpolitik. Die Gemeindefinanzreform, die aktuell zur Diskussion steht, kann ein maßgeblicher Hebel sein und eine Lenkungsfunktion wahrnehmen, aber besteht dazu der Wille? Es wäre für die künftige Landesentwicklung nicht gut, wenn bei der vorgesehenen Gemeindefinanzreform jetzt parteipolitisches Kalkül vorherrschen würde und nicht eine langfristige Vision für die Gemeinden und das Land.

Parteipolitik überwinden

Die Politik ist gefordert, über ihren parteipolitischen Schatten zu springen und parteiübergreifend den Konsens zu suchen, was die wirtschaftliche Dezentralisierung des Landes betrifft. Schon allein aus dem Grund, dass jede landesplanerische Strategie notgedrungen mehrere Legislaturperioden mit wechselnden Mehrheiten umfasst und das Rad nicht jedes Mal neu erfunden werden kann.

Die Dezentralisierung richtet sich nicht gegen die Hauptstadt. Es ist nicht die Aufgabe von Luxemburg-Stadt, alles auf ihrem Gemeindeterritorium zu vereinen. Berlin als deutsche Hauptstadt beherbergt auch nicht alle Institutionen oder Firmen. Das Bundesverfassungsgericht hat seinen Sitz in Karlsruhe. Viele große Firmen haben ihre Zentrale in München, während in Frankfurt die Banken angesiedelt sind. Auch das Saarland kann als Beispiel herangezogen werden, Saarbrücken ist die Landeshauptstadt, aber es gibt weitere regionale Ballungszentren.

Die überlegte Dezentralisierung setzt einen tiefgründigen Mentalitätswandel voraus. Ihr Ziel ist, das Zentrum des Landes verkehrsmäßig zu entlasten und neue Perspektiven für die anderen Regionen zu schaffen. Sie ist wirtschaftlich sinnvoll, weil sich viele Lieferungen, Anfahrten zu Baustellen und Dienstfahrten beschleunigen. Vor allem bedeutet überlegte Dezentralisierung, dass sich durch kürzere Distanzen zum Arbeitsplatz zehntausendfach Lebensqualität und Lebenszeit gewinnen lassen. Und das jeden Tag.

Marc Spautz
Abgeordneter und CSV-Parteipräsident

Quelle: Luxemburger Wort (26/11/2016)

Ass d’Regierung fir eng Zort “associéiert europäesch Memberschaft” fir intresséiert Briten ?

Réponse à la question N° 2581 (Question écrite) de Monsieur Laurent Mosar, Député, Monsieur Marc Spautz, Député concernant “Citoyenneté européenne associée”, par Monsieur Jean Asselborn, Ministre des Affaires étrangères et européennes: qp-2581

Monsieur le Président,

Par la présente, nous avons l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, nous souhaiterions poser une série de questions à Monsieur le Ministre des Affaires étrangères et européennes concernant l’idée d’une « citoyenneté européenne associée » lancée par Monsieur Charles Goerens.

Cité dans plusieurs éditions de presse ce matin, l’eurodéputé Charles Goerens a fait part de son impulsion politique consistant à créer une « citoyenneté européenne associée », afin de répondre aux 16 millions de Britanniques, qui, malgré le vote en faveur de la sortie du Royaume-Uni de l’UE en juin dernier, restent attachés aux valeurs fondamentales de l’Union européenne (UE).

Ainsi, les citoyens britanniques revendiquant ces valeurs pourraient se voir attribuer une sorte de « contrat d’association » et continuer de bénéficier des droits européens. Cette proposition soulève cependant de nombreuses questions d’ordre institutionnel et juridique.

Au vu de ce qui précède, nous aimerions poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre des Affaires étrangères et européennes :

  • Le Gouvernement estime-t-il que l’idée d’une « citoyenneté européenne associée » est une bonne initiative ?
  • Le cas échéant, Monsieur le Ministre entend-il s’engager en faveur d’une telle idée au niveau de l’UE ?

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre parfaite considération.

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Laurent Mosar Marc Spautz

Député Député

Wéini gëtt dat neit Fleegeheem zu Déifferdeng gebaut ?

Réponse à la question N° 2524 (Question écrite) de Monsieur Marc Spautz, Député concernant Maison de soins à Differdange, par Madame Corinne Cahen, Ministre de la Famille et de l’Intégration, Madame Corinne Cahen, Ministre à la Grande Région, Monsieur François Bausch, Ministre du Développement durable et des Infrastructures: qp-2524


Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que, conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Madame la Ministre de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région et à Monsieur le Ministre du Développement durable et des Infrastructures au sujet de la maison de soins à Differdange.

Dans la mesure où l’actuelle maison de soins à Differdange, située dans la rue de l’Hôpital, ne correspond plus aux nouvelles normes de construction, une nouvelle structure est prévue d’être construite derrière l’école Woiwer. En vue de la construction, la commune de Differdange cèdera à l’État un terrain d’une superficie de 148 ares.

Dans ce contexte, j’aimerais poser les questions suivantes à Madame la Ministre de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région et à Monsieur le Ministre du Développement durable et des Infrastructures:

  • Les Ministres peuvent-ils me fournir des informations sur le projet de construction d’une nouvelle maison de soins à Differdange ?
  • Quand les travaux peuvent-ils débuter ?

  • Quelle sera la durée probable des travaux de construction dans leur ensemble?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

Marc Spautz

Député

Plan d’action national maladies démentielles

Réponse à la question N° 2521 (Question écrite) de Monsieur Marc Spautz, Député concernant Plan d’action national maladies démentielles, par Madame Lydia Mutsch, Ministre de la Santé, Madame Corinne Cahen, Ministre de la Famille et de l’Intégration, Madame Corinne Cahen, Ministre à la Grande Région: qp-2521

Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Madame la Ministre de la Santé et à Madame la Ministre de la Famille au sujet du Plan d’action national maladies démentielles.

En mars 2013, le Conseil de Gouvernement  a approuvé le « Plan d’action national maladies démentielles ». L’objectif est, d’un côté, de retarder l’évolution de la maladie et d’éviter une dépendance des soins le plus longtemps possible, et, de l’autre côté, d’aider les personnes malades et leurs familles à apprendre à mieux vivre avec la maladie et d’ offrir aux concernés la possibilité de rester le plus longtemps possible dans leur cadre de vie.

Selon l’actuel programme gouvernemental, le plan démence sera dorénavant « mis en œuvre en étroite collaboration avec tous les acteurs, dont la CNS et plus particulièrement l’assurance dépendance ».

Dans ce contexte,  j’aimerais poser la question suivante à Madame la Ministre de la Santé et à Madame la Ministre de la Famille :

  • Mesdames les Ministres peuvent-elles me fournir des informations sur la mise en œuvre du Plan d’action national maladies démentielles?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

Marc Spautz

Député

Reform vun de Gemengefinanzen : M. Spautz freet weider Präzisiounen

Réponse à la question N° 2508 (Question écrite) de Monsieur Marc Spautz, Député concernant Réforme des finances communales, par Monsieur Dan Kersch, Ministre de l’Intérieur: QP 2508


Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que, conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Monsieur le Ministre de l’Intérieur au sujet de la réforme des finances communales

En réponse à ma question parlementaire n°2348 du 5 septembre 2016, Monsieur le Ministre de l’Intérieur a fourni un certain nombre de détails et données aux questions demandées. Or, sur un certain nombre de points Monsieur le Ministre n’a que partiellement voire pas du tout répondu. Ainsi je me permets de répéter et de préciser les questions auxquelles le ministre a répondu de manière incomplète. Il s’agit en l’occurrence des points 6 à 11 de ma question parlementaire.

Sous prétexte que l’impôt foncier ne serait pas affecté par le projet de loi n°7036, Monsieur le Ministre n’a pas produit de tableau global de tous les revenus non affectés des communes comportant les 2 impôts communaux (ICC et IF) et le FCDF.

Un tel tableau me semble pourtant indispensable pour pouvoir calculer correctement des ratios tels que par exemple le revenu par habitant mis dans la vitrine. L’impôt foncier procure des revenus non affectés qu’on ne saurait ignorer en raison du fait qu’il est en relation avec l’étendue du territoire et l’intensité d’utilisation des terrains dans les zones urbaines d’une part et en raison de ses potentialités très divergentes d’une commune d’autre part.

Voilà pourquoi je réitère ma demande de communiquer un tableau global détaillé par commune et par tranche de revenus résultant de la modification des variables et des paramètres de ventilation aux communes, des sommes leur réservées en dehors de celles résultant de l’abolition de la contribution des communes aux frais du personnel enseignant et de leur contribution supplémentaire à la Caisse de prévoyance.

Monsieur le Ministre a fourni une liste (annexe 6.1) du nombre de salariés par commune et a indiqué que l’Administration des Contributions Directes était à l’origine de cette liste ?. Il a en plus joint une liste (annexe 6.2) de l’indice socio-économique par commune, un indice déterminé par le STATEC. Les deux séries se rapportent à l’année 2015. Les autres variables mobilisées pour redistribuer des fonds non affectés ne sont pas communiquées.

C’est pourquoi j’aimerais avoir les précisions suivantes de Monsieur le Ministre de l’Intérieur:

  • Le Ministre peut-il fournir une série de trois années au moins des nouvelles variables ainsi que les auteurs de ces variables, leur mode d’établissement et les références et cadences de leur publication ?

  • Est- ce que ces variables reposent sur une base et approche légale ou bien est-ce que ces variables sont établies pour des besoins d’études seulement ?

  • A côté des variables « indice socio-économique » et « nombre de salariés » Monsieur le Ministre peut-il également fournir une série des autres variables qu’il entend utiliser comme par exemple le nombre de logement sociaux, la population ajustée, la superficie ajustée, … avec leurs sources (les auteurs et la cadence de leur publication) et les méthodes de leur application dans le cadre de la répartition de revenus non affectés ?

  • Monsieur le Ministre peut-il expliquer sa manière (méthode) pour définir les paramètres (la pondération) de ces variables par rapport aux revenus à distribuer ?

L’abolition de la contribution des communes aux frais du personnel enseignant et la contribution supplémentaire des communes à la Caisse de prévoyance signifie pour chaque commune d’un côté une décharge en matière de dépenses obligatoires et d’un autre côté une charge supplémentaire.

  • Monsieur le Ministre peut-il me communiquer l’effet isolé par habitant des deux types de dépenses sur les différentes communes alors que cet effet est intégré dans la présentation par le Ministère des revenus par habitants après les modifications opérées. Par ailleurs Monsieur le Ministre voudra bien joindre également le tableau permettant l’établissement du montant forfaitaire en y intégrant les montants ou les modifications dont question dans sa réponse à la question parlementaire du 5 septembre 2016 ?

Monsieur le Ministre indique que pour les calculs des ratios par habitant sur base des comptes FCDF et ICC de 2015 la population la plus récente calculée par le STATEC aurait servi.

  • Monsieur le Ministre peut-il m’indiquer l’année de la population de résidence la plus récente calculée par le STATEC utilisée pour les calculs ainsi que l’adresse de publication de cette statistique ?

Monsieur le Ministre a joint un tableau d’analyse des ratios par habitant et par hectare de terrain vert de 2012. Ce tableau comparatif des ratios et sous-ratios par commune constitue une analyse techniquement et scientifiquement fondée de la politique des revenus non affectés des communes. Il fait évidemment ressortir des écarts de revenus plus ou moins prononcés.

  • Monsieur le Ministre peut-il établir le tableau susmentionné pour les années 2013,2014 et 2015 afin d’avoir un vue objective sur les écarts actuels et leur évolution récente depuis 2012 ?

Quant à la dotation administrative de base variant avec le nombre de conseillers communaux, le ministre pense qu’elle n’est plus nécessaire respectivement qu’elle serait couverte par les dotations relatives à la population.

  • Monsieur le Ministre peut-il produire une statistique par commune sur les dépenses de fonctionnement exclusives de l’administration politique de la commune (du corps communal au sens de l’art 20 de la loi communale), des dépenses qui s’adapteront après chaque échéance électorale? Il s’agit notamment des dépenses pour les besoins en bureaux des élus locaux, en salles de réunion, des dépenses d’entretien et de chauffage de la mairie de base, des dépenses pour indemnités, jetons et congés politique ainsi que des dépenses pour le personnel légal de base (ne dépendant pas directement du nombre de résidents ou de hectares de terrain à savoir, le secrétaire et le receveur ainsi les ingénieurs techniciens et les urbanistes ou aménageurs avec des bureaux appropriés à partir de respectivement 3.000 et de 10.000 résidents)

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

Marc Spautz

Député

Neie Leitplankesystem (ETI Roller) eng Optioun fir Lëtzebuerg ?

Réponse à la question N° 2506 (Question écrite) de Monsieur Marc Spautz, Député concernant “ETI Roller System”, par Monsieur François Bausch, Ministre du Développement durable et des Infrastructures: qp-2506

Herr Präsident,

Gemäß Artikel 80 der Geschäftsordnung der Abgeordnetenkammer, bitte ich Sie, die vorliegende parlamentarische Anfrage an den Minister für Nachhaltige Entwicklung und Infrastrukturen weiterzuleiten.

Ein Unternehmen aus Südkorea hat eine neuartige Leitplanke (ETI Roller System)  entwickelt welche aus einer Stahlbarriere mit rotierenden Kunststofftonnen besteht und den Aufprall absorbiert, die Impulsenergie in Rotationsenergie umwandelt und das Fahrzeug in Fahrtrichtung ableitet. Das System kann laut Hersteller Schäden bei Unfällen minimieren und dadurch eventuell sogar Leben retten. In Südkorea ist das System bereits auf diversen Straßen im Einsatz und es hat auch in Europa bereits einen Zulassungstest bestanden.

Vor diesem Hintergrund möchte ich folgende Fragen an den Minister für Nachhaltige Entwicklung und Infrastrukturen stellen:

  • Kennt der Minister das ETI Roller System?
  • Wenn ja, hat der Minister Informationen bezüglich der Kosten gegenüber herkömmlichen Leitplanken?
  • Wäre eine Testphase auf einer Strecke in Luxemburg für den Minister vorstellbar?

 

Es zeichnet hochachtungsvoll,

Marc Spautz

Abgeordneter

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Wou ass de Projet „Espace seniors“ zu Rëmeleng drun ?

Réponse à la question N° 2499 (Question écrite) de Monsieur Marc Spautz, Député concernant Espace seniors à Rumelange, par Madame Corinne Cahen, Ministre de la Famille et de l’Intégration, Monsieur François Bausch, Ministre du Développement durable et des Infrastructures: qp-2499


Monsieur le Président,

Par la présente, j’ai l’honneur de vous informer que, conformément à l’article 80 du Règlement de la Chambre des Députés, je souhaiterais poser une question parlementaire à Madame la Ministre  de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région et à Monsieur le Ministre du Développement durable et des Infrastructures au sujet de l’Espace seniors à Rumelange.

Dans la mesure où le Centre intégré pour personnes âgées (CIPA) à Rumelange ne répond plus aux besoins actuels, son gestionnaire SERVIOR avait présenté, il y a quelques années, un projet pour transformer l’ancienne maison de retraite en un Espace seniors. Un complexe était annoncé qui réunirait en un seul lieu trois formes d’hébergement distinctes. Dans la réponse à la question parlementaire n°2067, Madame la Ministre fait remarquer que « [a]ctuellement, la suite du projet est suspendue du fait qu’il existe des situations litigieuses avec le bureau d’architectes ».

Dans ce contexte, j’aimerais poser les questions suivantes à Madame la Ministre de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région et à Monsieur le Ministre du Développement durable et des Infrastructures:

  • Madame la Ministre, peut-elle nous renseigner sur l’état actuel de ce dossier ?
  • Est-ce que les différends avec le bureau d’architectes ont été réglés ?
  • Dans l’affirmative, quand est-ce que la phase de construction va démarrer ?
  • Quelle sera la durée probable des travaux de construction ?

 

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

 

 

 

 

 

 

Marc Spautz

Député